Les disciples de Loyola
Les veillées d’un fouteur, 1832, illustration Les disciples de Loyola
Les veillées d’un fouteur, 1832, illustration Les disciples de Loyola
Aussi le fin Missionnaire
Au con préferoit-il le cul
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Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre
Les veillées d’un fouteur, 1832, Bandeau de début de chapitre


LE PASSE TEMS DE MONTROUGE

ou
LES DISCIPLES LOYOLA.



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Le cul est une bonne chose,
Rien d’utile comme le cul,
C’est sur le cul qu’on se repose,
On se rafraîchit par le cul,

Femme rit, quand on lui propose
De lui prendre un instant le cul,
Et de son cœur si l’on dispose,
On le doit souvent à son cul.(bis,)

Vignette roue 8 rayons

Au séminaire de Montrouge,
Dieu, comme on s’occupait du cul,
Chacun des jésuites tout rouge,
Adressait son hommage au cul,
Et se foutant de perdre l’âme,
Chacun en amateur de cul,
Loin de jouer au trou Madame,
Jouait toujours au trou du cul.

Vignette roue 8 rayons

Les dévotes ont d’ordinaire
Le con usé mais un beau cul,

Aussi le fin missionnaire,
Au con préférait-il le cul,
Enfans de chœurs, bedeaux ou Suisses,
Au cloître ne rêvent que cul,
Et tous leurs vits ont la jaunisse,
À force de frotter le cul.(bis.)


Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre
Les veillées d’un fouteur, vignette fin de chapitre