- Chapitre I : L’auteur expose les matières qu’il va traiter, et montre de quelle utilité les écrivains sont pour leurs lecteurs.
- Chapitre II : Il prévient l’objection de ceux qui le blâmeraient d’avoir insère dans ses ouvrages de nombreux fragments de la philosophie grecque.
- Chapitre III : Contre les sophistes et les prôneurs de la science inutile.
- Chapitre IV : Les arts humains ne sont pas moins sortis de la main de Dieu que la science des choses divines.
- Chapitre V : La philosophie est la servante de la théologie. Interprétation de l’histoire de Sara et d’Agar.
- Chapitre VI : C’est l’éducation, non la nature, qui le plus souvent nous rend vertueux. La science est d’un grand secours pour nous porter à la vertu.
- Chapitre VII : La philosophie ouvre à l'homme une route vers le ciel. Elle n'est pas particulière à une secte, mais ecclectique.
- Chapitre VIII : L’art du sophiste, et généralement tous les arts qui ne traitent que des mots, ne doivent pas être regardés comme utiles.
- Chapitre IX : Pour bien comprendre les Écritures, les sciences qui se rapportent à la philosophie sont absolument nécessaires.
- Chapitre X : Il faut plutôt s’appliquer à bien faire qu’à bien dire.
- Chapitre XI : Quelle est la sagesse et la philosophie que l’apôtre nous exhorte à fuir.
- Chapitre XII : Il ne faut pas dévoiler au premier venu les mystères de la foi.
- Chapitre XIII : Chacune des différentes sectes s’est emparée de quelque fragment de la vérité.
- Chapitre XIV : Série des philosophes grecs.
- Chapitre XV : La philosophie grecque est puisée en grande partie dans la philosophie barbare.
- Chapitre XVI : Les barbares sont aussi les inventeurs de presque tous les autres arts.
- Chapitre XVII : Sur cette parole du Sauveur : « Tous ceux qui sont venus ayant moi sont des voleurs. »
- Chapitre XVIII : L’auteur développe cette parole de l’apôtre : « Je détruirai la sagesse des sages. »
- Chapitre XIX : Il prouve que les philosophes ont recueilli quelques fragments de la vérité.
- Chapitre XX : En quoi la philosophie est utile pour comprendre la vérité divine.
- Chapitre XXI : En comparant les époques respectives, il prouve que les institutions et les lois des Hébreux sont de beaucoup plus anciennes que la philosophie grecque.
- Chapitre XXII : De la version des Septante.
- Chapitre XXIII : Sur le temps où Moïse a vécu. — De sa naissance et de sa vie.
- Chapitre XXIV : Comment Moïse remplit les fonctions de chef des Hébreux, et comment, par son exemple, il instruisit les autres dans l'accomplissement de leurs devoirs.
- Chapitre XXV : Comment Platon, dans son Traité des Lois, s’est inspiré de Moïse.
- Chapitre XXVI : Que c’est avec raison que l’on donne à Moïse le nom de législateur divin, bien qu’il soit inférieur au Christ, et qu’il est de beaucoup plus digne de ce titre que les législateurs grecs Minos et Lycurgue.
- Chapitre XXVII : La loi a toujours en vue l’intérêt des hommes, même dans les punitions qu’elle leur inflige.
- Chapitre XXVIII : Division de la loi de Moïse en quatre parties.
- Chapitre XXIX : Les Grecs ont été justement appelés des enfants par les Égyptiens, si on les compare aux Hébreux et à leurs institutions.