Les Opalines/Impressions crépusculaires
L. Vanier, (p. 35).
IMPRESSION CRÉPUSCULAIRE
Le jour délicat meurt : sur la pelouse ouverte
En lumineux tapis dans le milieu des bois,
Les daims éparsemés, oublieux des effrois,
Paissent assidûment l’immobilité verte.