Société du Mercure de France (p. 283-360).


TROISIÈME PARTIE


Mais le voici, et il rit d’un rire d’amour à la voir tandis qu’elle parle. Elle, sent monter de ce rire la vague généreuse qui la prend. Évidemment tout est fini, ils sont dépris, elle est armée d’épines à son égard, et elle meurt de l’envie qu’il l’implore, afin de l’évincer royalement.

Mais qu’il ne tarde pas ! Sans quoi ses royautés s’émousseront, car vraiment il a trop de joie, d’une joie hors de place et de raison pour qu’elle n’en soit pas un peu touchée.

Mais enfin ils sont bien heurtés à mort, ils se veulent séparés ; et cette folie déplacée qui ne tient nul compte de rien ! des arrêts prononcés, des blessures formelles, des mots tueurs et de l’instant, menace toute convenance. Il a vraiment la même griserie que s’ils étaient heureux Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/306 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/307 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/308 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/309 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/310 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/311 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/312 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/313 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/314 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/315 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/316 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/317 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/318 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/319 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/320 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/321 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/322 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/323 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/324 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/325 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/326 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/327 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/328 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/329 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/330 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/331 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/332 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/333 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/334 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/335 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/336 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/337 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/338 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/339 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/340 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/341 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/342 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/343 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/344 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/345 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/346 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/347 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/348 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/349 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/350 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/351 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/352 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/353 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/354 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/355 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/356 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/357 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/358 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/359 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/360 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/361 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/362 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/363 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/364 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/365 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/366 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/367 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/368 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/369 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/370 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/371 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/372 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/373 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/374 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/375 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/376 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/377 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/378 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/379 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/380 Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/381 venir l’étonnement des joies que l’on ne gagne plus, car il naîtra toujours d’eux quelque chose. L’attrait leur aurait-il gardé sa fleur pour l’instant où leur dernier prestige est à terre ?


Il serait peut-être juste de dire, pour les personnes qui aiment se renseigner — autant qu’on peut jamais affirmer ces détails — que depuis un temps ils s’appartenaient. Mais ils n’ont pas l’âme documentaire et ils n’ont jamais pu se souvenir des dates.

Que pouvait, à leur point de trouble, leur ajouter ou leur prendre un fait ? Ce qui ne change rien, du reste, au cours du livre, lequel n’a pas en lui la force de finir plus qu’ils ne l’ont.

Car si frêles, ils surnageront de tous naufrages, et quoi qu’ils aient méfait, défait ou fait, comme ils séchaient jadis de manquer l’un de l’autre, ils séchèrent désormais de s’avoir.


FIN



13-3-06. — Tours, Imp. E. Arrault et Cie