Traduction par Edmondo Fazio alias Edmond Fazy.
E. Sansot (p. 74).

45. — LA MORTE VIVANTE[1]

Un gars de village se confesse :

— « Monsieur le curé, j’ai couché avec une nonne ! »

— « Quelle abomination ! Satan est en toi, vil séducteur ! Ignores-tu donc que nos saintes religieuses, contemplatrices de la perfection divine, sont mortes au monde ? »

— « Oh ! Monsieur le curé ! Pour une morte, elle frétillait diablement ! Il me semblait avoir, tantôt sous moi, tantôt sur moi, trois ou quatre putains séculières ! »

  1. Livre III, 61, De quodam coufitente se monialem cognovisse.