Chez Cazals & Ferrand, Libraires (p. 50-51).

AUTRE.


Le teint jauni, le front tout boutonné,
Filtrant l’empois par l’humide goutiere,
Et ſur ſon lit ſouffrant comme un damné,
Un vieux Ribaud tançoit ſa chambriere.
Ah ! monſtre impur, pour mon ſupplice né,
Tu m’as donné le mal qui me dévore.

L’autre répond : moi je vous l’ai donné ;
Vous vous trompez, car je l’ai bien encore.