Le Deuxième Livre des quatrains/Le mauvais ouvrier

Mercure de France (p. 63).

LIX

LE MAUVAIS OUVRIER


 « Tu mangeras ton pain aux sueurs de ton front. »
Je n’ai pas moissonné le blé des canicules
Et ne rapporte rien des plantureux sillons
Que l’ivraie ennemie et quelques renoncules.