Le Deuxième Livre des quatrains/La mort

Mercure de France (p. 64).

LX

LA MORT


Vous m’avez éveillé du sommeil du néant
Et vous dissiperez le songe de ma vie.
Tel que s’est révélé mon père, en vous voyant
Je connaîtrai l’Aïeul unique et la Patrie.