Le Conseiller des femmes/02/01

Le Conseiller des femmes2 (p. 17-18).

AVIS ESSENTIEL.


Nous avons annoncé dans notre prospectus que notre journal paraîtrait à dater du 1er novembre, et nous avions rempli nos engagemens. Nos journaux portés à la poste ce jour-là nous ont été renvoyés comme n’étant pas timbrés. Nous avions cru être dispensés de cette mesure fiscale, et ce surcroit de frais nous met dans l’obligation d’augmenter, pour Paris et les départemens, nos abonnemens de 2 francs par an. Ceux de nos abonnés qui consentiraient à ne recevoir les quatre livraisons qu’à la fin de chaque mois, ne seraient pas soumis à cette augmentation.

Paraissant tous les huit jours, nous intéresserons plus vivement nos lectrices, qui nous sauront gré de joindre à la partie sérieuse de notre journal la partie utile des nouvelles, théâtres, modes, etc. Souvent même nous rendrons service à Paris, en lui disant d’avance quels rubans ou quelles étoffes nouvelles se tissent dans les ateliers de Saint-Etienne et Lyon.

En fait de goût, notre ville n’a pas seulement à recevoir, elle doit donner, et nous nous chargeons de l’échange.

Le Conseiller des Femmes comptera par année 52 livraisons ou 900 pages d’impression, formant deux gros volumes in-8o.

Pour Paris et les départemens, on pourra s’abonner sans frais, de six mois en six mois, chez MM. les directeurs de poste.

Nous prenons l’engagement de faire parvenir notre premier numéro à ceux de nos abonnés qui ne l’ont pas reçu, leur assurant bien qu’à l’avenir aucun retard ne pourra avoir lieu.

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