Laure d’Estell (1864)/46
Laure d’Estell (1802)
Michel Lévy frères, libraires éditeurs, (p. 193-194).
XLVI
Caroline a fui de la maison ; le désespoir y règne ; madame Varannes est livrée à tout l’excès d’une douleur mortelle ;… et moi, ma chère Juliette ! moi, qui ai prévu cet affreux malheur, je concentre ma peine, pour ne m’occuper que des secours à porter aux infortunés qui m’entourent. Je n’ai pas le temps de te donner des détails sur cet événement horrible ; lis les deux copies de lettres que je t’envoie, elles suffiront pour l’instruire.