La Cité de Dieu (Augustin)/Livre XIX
Chapitre premier. Il peut y avoir, selon Varron, deux cent quatre-vingt-huit systèmes philosophiques touchant le souverain bien.
424
— II. Comment Varron réduit toutes ces sectes à trois, parmi lesquelles il faut choisir la bonne.
426
— III. Quel est, entre les trois systèmes sur le souverain bien, celui qu’il faut préférer, selon Varron, qui se déclare disciple d’Antiochus et de l’ancienne Académie.
427
— IV. Ce que pensent les chrétiens sur le souverain bien, contre les philosophes qui ont cru le trouver en eux-mêmes.
428
— V. De la vie sociale et des maux qui la traversent, toute désirable qu’elle soit en elle-même.
431
— VI. De l’erreur des jugements humains, quand la vérité est cachée.
431
— VII. De la diversité des langues qui rompt la société des hommes, et de la misère des guerres, même les plus justes.
432
— VIII. Il ne peut y avoir pleine sécurité, même dans l’amitié des honnêtes gens, à cause des dangers dont la vie humaine est toujours menacée.
433
— IX. Nous ne pouvons être assurés en cette vie de l’amitié des saints anges, à cause de la fourberie des démons, qui ont su prendre dans leurs pièges les adorateurs des faux dieux.
433
— X. Quelle récompense est préparée aux saints qui ont surmonté les tentations de cette vie.
434
— XI. Du bonheur de la paix éternelle, fin suprême et véritable perfection des saints.
434
— XII. Que les agitations des hommes et la guerre elle-même tendent à la paix, terme nécessaire où aspirent tous les êtres.
435
— XIII. La paix universelle, fondée sur les lois de la nature, ne peut être détruite par les plus violentes passions, le juge équitable et souverain faisant parvenir chacun à la condition qu’il a méritée.
436
— XIV. De l’ordre à la fois divin et terrestre qui fait que les maîtres de la société humaine en sont aussi les serviteurs.
438
— XV. La première cause de la servitude, c’est le péché, et l’homme, naturellement libre, devient, par sa mauvaise volonté, esclave de ses passions, alors même qu’il n’est pas dans l’esclavage d’autrui.
438
— XVI. De la juste damnation.
439
— XVII. D’où viennent la paix et la discorde entre la cité du ciel et celle de la terre.
440
— XVIII. Combien la foi inébranlable du chrétien diffère des incertitudes de la nouvelle Académie.
441
— XIX. De la vie et des mœurs du peuple chrétien.
441
— XX. Les membres de la Cité de Dieu ne sont heureux ici-bas qu’en espérance.
442
— XXI. D’après les définitions admises dans la République de Cicéron, il n’y a jamais eu de république parmi les Romains.
442
— XXII. Le Dieu des chrétiens est le vrai Dieu et le seul à qui l’on doive sacrifier.
443
— XXIII. Des oracles que Porphyre rapporte touchant Jésus-Christ.
443
— XXIV. Suivant quelle définition l’empire romain, ainsi que les autres États, peuvent s’attribuer justement les noms de peuple et de république.
446
— XXV. Il n’y a point de vraies vertus où il n’y a point de vraie religion.
447
— XXVI. Le peuple de Dieu, en son pèlerinage ici-bas, fait servir la paix du peuple séparé de Dieu aux intérêts de la piété.
447
— XXVII. La paix des serviteurs de Dieu ne saurait être parfaite en cette vie mortelle.
447
— XXVIII. De la fin des méchants.
448