L’honneur de souffrir/XXXIV. Il convient que l’on appelle âme
Librairie Grasset, (p. 62).
XXXIV
Il convient que l’on appelle âme
Cet excès de feu, de couleurs,
Dont la jeunesse se réclame.
— Mais quand l’arbre perdra ses fleurs,
Il faudra bien qu’un jour tu rames
Sur la galère du malheur.
C’est le corps qui verse les pleurs !