L’Italie d’hier/Federico Zucchero

Charpentier & Fasquelle (p. 93).


Federico Zucchero. — Des fêtes galantes et nues, bondées d’hommes et de femmes, glorieux et glorieuses de la beauté dissolue de leurs corps montrés sans voile, dans un paysage tout plein des amours, de colombes, de cygnes, d’oiseaux au bord d’un canal, où des amours manken-piss sont debout sur la rive, leur petite bedaine et le reste à l’air, au-dessus de l’eau.