Cinquième Dialogue.
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§ Deuxième.

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Intromission du vit dans le cul
d’une femme ou Sodomie avec la femme.




Charles. – J’ai fini les manières de foutre la femme en con, j’arrive à quelques autres.

Il y a une vieille chanson de corps de garde qui dit :

Gnia ; gnia du cul au con,
Que la culbute d’un morpion.

Cette vérité étant incontestable, il en faut conclure que toutes les postures que j’ai décrites plus haut, peuvent convenir, ou presque toutes aussi bien pour enculer une femme que pour l’enconner.

Mais bien qu’une femme soit femme partout pour un franc-fouteur, l’acte de Sodomie ou l’enculade, même avec le sexe féminin, ne doit être pour lui que l’effet d’un caprice du moment, et non celui d’une habitude de prédilection. Le sodomite a néanmoins jusqu’à un certain point raison quand il soutient que tous les goûts sont dans la nature, et que le meilleur est celui qu’on a. Mais il n’est pas moins raisonnable de dire, que si tous les hommes avaient le goût exclusif du cul pour foutre, le monde finirait. Ce motif seul, démontre le danger dans lequel on tomberait, en étendant d’une manière indéfinie dans son application un tel principe. Vrai, si l’on veut au fond, puisque cette extension sans limite entrainerait l’extinction de la population parmi les hommes. Mais heureusement il y a un petit nombre de sodomites exclusifs en proportion du nombre plus considérable des fouteurs en con ; de sorte qu’il n’y a guère à s’en occuper. Laissons donc faire chacun à son gré, pourvu que ce soit secrètement, sans scandale, sans violence physique ou morale. J’avoue franchement qu’il m’a toujours paru pitoyable, de faire contre le goût anti-physique des objections tirées de la religion, je n’admets pas qu’elle ait rien à faire dans quelque fouterie que ce soit, si elles ont lieu sans scandale, secrètement et sans violence, et je suis pourtant parfaitement désintéreſsé dans la question car ce goût n’a jamais été le mien, j’ai usé du cul par pur caprice, par curiosité, avec des femmes seulement, dont quelques unes même m’en ont prié, soit aussi par caprice, soit par crainte comme elles me le disaient de l’infanterie, c’est-à-dire de devenir enceintes, mais j’ai toujours préféré ce que j’appelle la bonne voie, c’est-à-dire le con, mais encore une fois, mêler dans toutes ces folies la religion, c’est blasphémer. Quand donc la foule crédule et stupide cessera-t-elle d’écouter comme des oracles, certains individus qui ne sont pas assez sots qu’ils veulent le paraître, et qui confondent, ou à parler plus vrai, feignent de confondre les lois de la religion, avec des règles établies seulement par l’état social ; et les sentiments de morale vraie, les seuls que la nature inspire à l’homme en naissant, avec les répugnances que les préjugés de l’éducation sociale seule donnent aux âmes simples et craintives ! Ces individus qui prêchent si haut en paroles, sont le plus souvent loin d’y conformer leurs actions, et entr’eux ils ne manquent pas, mettant de côté leurs masques, de convenir que tout ce qui ne fait de mal à personne est permis en thèse générale ; ils ne s’arrêtent même pas là dans l’application, car ils admettent sans distinction, que tout ce qui est caché n’est pas défendu. Mais ceci est beaucoup trop grave à propos de notre sujet, revenons-y.

Puisque la pluspart des postures pour la fouterie en con peuvent se pratiquer pour la fouterie en cul, avec une femme, par la raison de leur voisinage très rapproché, et qu’il n’y a pas, à ma connaissance, de manière de foutre une femme en cul, qui ne puisse être aussi employée pour la foutre en con, et qu’enfin je crois t’avoir décrit toutes les façons dont on pouvait enconner, il y aurait alors double emploi à te les expliquer de nouveau, pour en faire l’application à la fouterie d’une femme en cul. Il suffit de te dire qu’il ne s’agit que de mettre quelques lignes plus haut ou plus bas, selon la position de la femme, le vit de l’homme dans toutes les postures décrites pour le con, pour que la femme soit foutue en cul, puisque ces deux ouvertures sont si près l’une de l’autre celà ne sera pas plus difficile, indifférent pour l’action elle même.

Cependant les manières les plus aisées d’enculer une femme sont celles que j’ai décrites aux postures pour enconner sous le nom de : La Perspective du Bas-Rhin, no 7. – L’Élastique, no 14. – La Brouette à l’envers, no 18. – le Pal en arrière, no 20. – Le Kourakin ou le Panier no 56. – Le Sac de blé en arrière, no 63. – et toutes les postures en levrette, nos 11, 18, 20, 25, 27, 29, 32, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 43, 45, 46, 48, 53. Les observations faites où il y avait lieu, relativement au plus ou moins de facilité d’exécution, dans l’explication de chaque posture, s’appliquent quelquefois plus, quelque fois moins, à l’exécution en cul de ces postures avec la femme.

Il est bien entendu dans tous les cas, que dans toutes les manières d’enculer une femme, l’homme doit s’arranger de façon à pouvoir de l’une de ses mains branler le con que son vit néglige pour un instant, et chatouiller le clitoris, les boutons des tètons etc. En un mot careſser tout ce qu’il peut atteindre. Il ne faut être ni égoïste, ni ingrat ; on doit donc, autant qu’on le peut, donner du plaisir en même temps qu’on en reçoit, cela double d’ailleurs celui dont on jouit.



Deuxième Section


Postures sans intromission du vit,
mais à plaisirs réciproques, ou branlades
réciproques et ganahuchades mutuelles.


On comprend que ce genre de posture n’est pas nombreux, car il serait oiseux de décrire toutes les manières que deux amants peuvent employer pour se branler réciproquement, assis, debout, couché, en avant, en arrière &a. C’est toujours pour la femme, un ou plusieurs doigts de son amant, ou ses mains qui lui farfouillent la motte, le con, qui lui chatouillent le clitoris, les grandes et petites lèvres, le périnée, le trou du cul, les tètons et leurs boutons, les aisselles, les fesses, les épaules, le dos, les reins &a, pendant que, pour l’homme, elle se sert aussi de ses mains, pour prendre, secouer, tapotter, caresser le vit de son amant, ses couilles, son périnée, le trou du cul, ses fesses &a. Le tout avec assaisonnement de baisers réciproques sur tout le corps, de langue fourrée et de tous les épisodes ordinaires.

Les meilleures manières de se branler mutuellement sont celles que je vais te décrire, seulement toutes les autres n’en sont que des extraits ou de pâles copies.

I. La bonne Branlade.

L’homme est assis sur un canapé ou divan, à côté et à la droite de la femme aussi assise sur le même meuble, il lui entoure la taille de la main gauche, ou la lui passe par dessus ou par dessous l’épaule gauche pour lui prendre les tètons, ou bien encore il la porte sous ses fesses pour lui prendre le cul ; avec la main droite il lui ouvre doucement les lèvres du con, y porte son doigt dont il lui caresse le clitoris, il le fait entrer et sortir en tous sens, l’y tourne et retourne. S’il veut accroître le plaisir il mouille son pouce et son doigt du milieu de la main droite, avec de la salive, il porte ce pouce sur le clitoris, met son doigt indicateur dans le con, et son doigt ainsi mouillé dans le cul, il plie les autres doigts de cette main, et remue ensuite les doigts placés, en avant et en arrière, doucement d’abord, et plus fort au moment de la décharge. L’homme doit avoir soin de se couper les ongles courts et de les avoir bien limés, arrondis et adoucis sur les arrêtes car un coup d’ongle pourrait faire beaucoup de mal dans les parties internes de la femme fort délicates ; et lui occasionner plus tard des fistules ou ulcères dans la matrice ou le rectum (boyau dont le trou du cul est le bout extrême).

De son côté, la femme prend de sa main droite le vit de son amant, qu’elle agite moëlleusement, elle le décalotte de son prépuce, et le recalotte doucement d’abord, ensuite plus fort, et de manière à tendre le filet en tirant beaucoup la peau du vit vers la racine. Elle descend doucement sa main vers cette racine, puis revient à la tête du vit, elle mouille son pouce de salive et le passe et repasse sur le filet tendu qu’elle frotte ainsi légèrement. Pendant ce temps, de sa main gauche elle prend les couilles de son amant, les presse mollement, les caresse ainsi que la racine du vit, le périnée et les environs, elle mouille aussi un doigt de cette main, et chatouille ou pénètre si elle le peut le trou du cul de son amant.

Les deux acteurs se baisent, se pressent en même temps, ils font langue fourrée et bientôt le foutre leur jaillit réciproquement dans les mains.

II. L’amateur de fraises.

La femme est couchée le dos étendu sur un lit ou un divan, les genoux un peu relevés et écartés, l’homme se place à la droite du lit ou divan, près d’elle, assis ou à genoux selon la hauteur du meuble qui sert de coucher, il passe son bras gauche sur le col de la belle, le fait revenir par deſsus sa poitrine, lui prend le tèton gauche, et fait frétiller sur la fraise un doigt de cette main, pendant qu’en se baissant un peu il prend dans sa bouche la fraise du tèton droit, sur laquelle il fait frétiller sa langue. Sa main droite passe en même temps dessous les cuisses relevées de la belle, il a mouillé le pouce et le doigt du milieu de cette main qu’il porte entre ces cuisses, son pouce se place au clitoris, son doigt indicateur dans le con, et son doigt du milieu dans le cul. L’amant quitte de temps à autre le tèton droit, pour porter sa bouche sur celle de la belle, et lui faire langue fourrée. De son côté la femme passe la main droite entre le meuble où elle est couchée et le corps de son amant, elle s’empare de son vit, le branle ainsi que ses dépendances, avec toute la science, la gentillesse et la légèreté possible, employant tous les moyens décrits dans la précédente branlade, pour caresser celui qui la caresse si bien elle-même. Le tout se termine par une décharge réciproque et délicieuse que les amants échangent dans leurs mains avec une grande satisfaction.

Indépendamment des branlades il y a d’autres façons de se donner réciproquement du plaisir entre homme et femme sans l’introduction du vit que redoutent quelques femmes qui n’ont même pas confiance dans la redingote anglaise ou ruban, ni dans la petite éponge, et encore moins dans l’engagement que prendrait un amant de se retirer à temps pour ne pas décharger dedans.

Ces façons sont les gamahuchades, nom qu’on donne à l’action de se chatouiller avec la langue, et sucer les parties sexuelles de la femme ou de l’homme.

En voici la description.

III. La Gamahuchade tête-bêche.

La femme se couche le dos sur le lit, les cuisses écartées, les genoux relevés, l’homme monte sur elle à l’envers à cheval, il se met à genoux la tête de la femme entre ses cuisses, il s’étend les coudes appuyés sur le lit du côté des hanches de la femme, et la figure entre les cuisses relevées de cette dernière, sous les fesses de laquelle il passe ses mains pour écarter les grandes lèvres du con et y porter sa bouche, il met sa langue sur le clitoris et l’y fait frétiller, il la plonge même dans l’intérieur aussi avant qu’il peut, il suce le clitoris, pendant que du doigt indicateur dans le con, et du doigt du milieu dans le cul, il pousse en avant et en arrière, et que de son autre main il careſse et parcourt tous les environs. La femme de son côté ne reste pas oisive, elle met d’une main dans sa bouche le vit de son amant, le mordille, le suce, promène sa langue sur le filet qu’elle a tendu en décalottant le vit fortement vers sa racine, de son autre main elle chatouille, caresse, presse et tapote les couilles, la partie du vit qui n’a pu entrer dans sa bouche, le poil, le périnée, le trou du cul dans lequel elle fait entrer un doigt mouillé, les fesses qu’elle flatte et claque doucement. Ces caresses se continuent jusqu’à l’approche du souverain plaisir, lors duquel la femme semble vouloir avaler le vit, tant elle se l’enfonce dans la bouche en le suçant, tandis que l’homme parait vouloir mettre sa figure entière dans le con et manger le clitoris de sa belle, tant il s’enfonce dans l’un, et attire l’autre par la succion. Aussi, chacun des amants reçoit dans sa bouche le foutre l’un de l’autre sans sourciller, jusqu’à ce que la décharge soit bien complète : après quoi ils avalent ou rejettent selon leur goût ou leur passion du moment, ce foutre dont l’émission a été si voluptueuse.

IV. La Gamahuchade tête bêche
renversée.

C’est la posture vice versa.

C’est-à-dire que la seule différence entre celle-ci et la précédente, c’est que c’est l’homme qui est couché le dos sur le lit, les genoux un peu relevés, et c’est la femme qui monte sur lui, à genoux à droite et à gauche de la tête de l’homme le con sur sa figure et le cul en l’air, tandis qu’elle a la tête entre le haut des cuisses de l’homme, dont elle suce le vit pendant qu’il lui gamahuche le con.

Le reste se fait comme dans la précédente posture et se termine de même ; il n’y a donc pas lieu d’en dire plus long.

V. La Gamahuchade lénouistique.

L’homme s’asseoit sur le milieu d’un divan, il a devant lui entre ses pieds écartés, un tabouret plus bas que le divan, il a le dos un peu renversé et appuyé sur des coussins, la femme monté sur le divan, en tournant ses fesses vers le visage de l’homme, et pose les pieds sur le divan, elle se baisse ainsi en avant et appuie entre les jambes de l’homme ses mains sur le tabouret devant elle. Par cette position écartée et penchée en avant, elle offre à la bouche de l’homme son con au dessous de ses fesses bien exposées et tendues, l’homme y applique sa bouche, il fait frétiller sa langue dedans et sur le clitoris, il baise ces fesses et ce trou du cul, où il ne dédaigne pas de fourrer sa langue, ce qui s’appelle gabaotter, et son nez en guise de postillon, quand cette langue est occupée chez le voisin. Par cette même posture les tètons de la femme se trouvent à la portée du vit de l’homme, qui le met entre deux, et qui, ayant passé ses bras entre les jambes de la femme presse de chacune de ses mains ces tètons sur son vit placé entre deux.

Il joue des reins et du cul en même temps que de la bouche, pendant que la femme s’agite et frétille sous l’empire de ces caresses, et bientôt l’homme reçoit dans sa bouche le foutre qu’il lui rend avec usure dans les tètons.

V. La Gamahuchade au grand écart.

L’Homme est couché sur le lit un peu en travers les genoux relevés, les talons rapprochés de ses fesses, et tournés vers la ruelle du lit, et la tête opposée sur le bord opposé. La femme place, à sa commodité, un tabouret près ce bord du lit, elle monte sur ce tabouret, d’un pied qu’elle y laisse, et passe l’autre par dessus son amant, le plaçant sur le lit de manière que, faisant face à son amant, et se pliant, elle lui met son con sur la figure, et son cul sur la partie de la poitrine près du col, y appuyant légèrement pour ne pas l’étouffer et se soulevant à cet effet sur ses pieds ; elle pose même dans ce but une main sur la tête de son amant appuyée au bord extérieur du lit, elle allonge son autre main qu’elle porte au vit de l’homme et qu’elle branle savamment, en lui chatouillant de temps en temps les couilles, le périnée et la racine du vit dont elle frotte doucement la tête qu’elle décalotte pour en caresser le filet. L’homme d’une main passe par derrière, joue avec les fesses de la femme tournée vers ses pieds à lui, et appuie ces fesses sur sa bouche dont la langue frétille sur le clitoris et dans le con comme dans les précédentes figures, il passe son autre main entre son corps et la cuisse dont la jambe est allongée et passée sur le tabouret, il fait revenir cette main par devant pour écarter les poils et les lèvres du con, afin de rendre plus facile la gamahuchade, puis il parcourt le ventre et les tètons de sa belle qui bientôt par reconnaissance lui lâche son foutre sur la figure et dans la bouche, ce que l’amant non moins reconnaiſsant lui rend dans la douce main qui le branle.

VII. Le Pet en gueule.

L’homme et la femme prennent à terre la posture de la gamahuchade tête-bêche renversée (no 4 ci-dessus). Quand ils sont en place, l’homme prend sur ses épaules à droite et à gauche de sa figure les cuisses de la femme et les y tient fermes, se relève ainsi sur ses pieds, la femme lui entoure les reins de ses bras Quand ils sont ainsi debout la femme a sa tête en bas, prend le vit de l’homme dans sa bouche, se tient toujours d’une main aux reins de l’homme droit sur des pieds et de l’autre main lui chatouille les couilles &a comme dans les autres gamahuchades. L’homme appuyant d’une main sur les reins de la femme, dont il a le con et le cul devant la bouche, passe par dessus ce cul son autre main, écarte poils et lèvres du con et y travaille de la langue aussi comme dans les autres gamahuchades, puis cette même main sert à caresser fesses, trou du cul &a, jusqu’à ce que sentant le souverain plaisir arriver et les forces par conséquent diminuer, il s’approche du lit à reculons et s’y laiſse tomber à la renverse pour décharger commodément et sans craindre d’accident.

VIII. La Gamahuchade à la paresseuse.

C’est la gamahuchade tête-bêche no 3 ci-dessus, ou la gamahuchade tête-bêche renversée, no 4 ; seulement les amants la pratiquent couché de leur long sur le côté tous deux, soit l’homme sur le côté droit ; et alors la femme se couche tête-bêche avec lui et sur le côté droit aussi, soit l’homme couché sur le côté gauche et la femme aussi toujours tête-bêche, de façon, que cette dernière a dans tous les cas son con vers la bouche de son amant qui a, lui, son vit vers la bouche de sa belle, chacun d’eux lève un peu la cuisse du côté opposé à celui sur lequel il est couché, afin de faciliter le passage de la figure de l’autre entre les cuisses ainsi que les mains qui se donnent aussi l’exercice des caresses sur les parties qu’elles peuvent atteindre, en même temps que les bouches font leur devoir réciproque sur les parties sexuelles qu’elles ont à leur disposition. Les amants n’ont ainsi ni l’un ni l’autre aucun poids à supporter, ils ont le plaisir sans la peine, et ne s’en déchargent qu’avec plus de volupté dans la bouche l’un de l’autre.

Je crois que te voilà au courant de toutes les postures que peuvent prendre deux amants qui veulent s’enivrer des plaisirs de l’amour, sans intromissions dangereuses qui pourraient donner lieu à la naiſsance de témoignages indiscrets, et dans lesquels cependant le plaisir est mutuel et partagé, et la jouissance de la décharge complète pour tous deux.

Passons donc aux jouiſsance de l’homme seul, par le secours de la femme sans que cette dernière y participe autrement que par le plaisir qu’elle donne ; car c’est une jouissance aussi que de voir celle que l’on procure à ce qu’on aime, même quand on ne la partage pas en réalité, c’est-à-dire qu’il est encore agréable de faire décharger ce qu’on chérit, quand bien même on ne déchargerait pas soi-même ; d’ailleurs il n’est pas défendu de se branler soi-même pendant qu’on donne le plaisir.

Chapitre II.



Jouissances de l’homme seul par le
secours de la femme sans qu’elle y participe
par la réciprocité.

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I. La fausse enfilade

La femme étant fatiguée de jouir, tandis que l’homme désire encore, est couchée sur le côté, l’homme couché aussi s’approche d’elle par derrière, lui fourre son vit entre les cuisses qu’on lui ferme pour le moment, agit comme s’il était entré dans le cul ou dans le con et fout gravement ces cuiſses en remuant de même palpant de ses mains pour augmenter l’illusion tous les appas de la belle, qui lui tourne seulement le visage, pour pouvoir faire langue fourrée ; tandis qu’elle serre et remue légèrement ses cuisses, sur lequel le vit excité par le frottement des poils du con et du satin de ces cuisses, ainsi que par le toucher des fesses rondes, blanches et douces contre le ventre de l’homme, lâche bientôt les écluses amoureuses.

II. La mouillette ou la dinette.

L’homme est à demi couché sur un canapé ou sur un lit, la femme se met à genoux devant lui, elle saisit le hochet de l’amour d’une main, le met dans sa bouche et le suce, tandis que de son autre main elle chatouille, presse et ballotte les couilles, avec les accompagnements et jeux indiqués plus haut et qu’il est inutile de répéter chaque fois. L’homme s’amuse pour occuper ses mains, à palper les tètons et autres appas à sa portée et bientôt la bombe éclate dans la bouche de la suceuse qui ne cesse les doux exercices de sa langue autour du filet, de ses lèvres et dents sur la tête de ce vit, que quand elle sent que tout est parti, sauf à elle à rejetter seulement le résultat de son opération dans les cendres ou un mouchoir, puis à se rincer la bouche.

III. le Chef de division ou le nouveau
busc.

L’homme est debout, le derrière appuyé sur un lit, la femme se met à genoux devant lui, soit à terre, soit sur des carreaux selon sa taille ; elle place le vit de l’homme, la tête en l’air entre ses deux tètons, qu’elle presse de chacune de ses mains, en regardant amoureusement son amant, ce dernier remue alors comme s’il foutait en con ou en cul ; son vit ainsi pressé entre ces tètons dont le dessous frotte ses couilles, éprouve un plaisir qui, bientôt fait jaillir de sa tête rubiconde, des flots de foutre, venant atteindre le col et la figure de la femme, et retomber en jet d’eau sur ses tètons.

IV. le busc à l’envers.

C’est la même jouissance pour l’homme, mais avec un peu plus de luxure encore.

La femme se couche par le bout d’une banquette, sur le dos et les reins, le cul en dehors du bout de la banquette, les cuisses repliées en arrière, la pointe des pieds à terre ; l’homme se met à cheval par dessus sa figure vers laquelle il tourne le cul, elle l’a ainsi pour perspective, de même que le périnée &a.

L’homme pieds à terre a ses jambes debout, à gauche et à droite du corps de la femme et de la banquette ; il place son vit entre les tètons de haut en bas, il les presse de ses deux mains, s’en faisant un con délicieux, et pousse en avant et en arrière en conséquence, pendant que la femme lui baise les fesses, le périnée, le trou du cul qu’elle a si près de la figure, y fourre même sa langue ou un doigt mouillé et pelotte ses couilles avec ses mains qu’elle passe par derrière son amant. Ce jeu fait bientôt décharger ce dernier, qui arrose l’estomac, le ventre et le nombril de sa belle, par un ruisseau de foutre dont la pente du corps et le penchant naturel à cette liqueur, conduisent les flots vers la motte et le con.

V. La poste aux pommes d’amour.

C’est à peu près la même chose que le chef de division ou le nouveau busc (no 3) pour le résultat.

La femme est couchée entièrement sur une banquette, l’homme se met à cheval sur elle, les pieds par terre, à droite et à gauche, il lui tourne le visage, il place son vit entre ses tètons qu’elle presse elle-même de chaque main pour rendre étroit ce con postiche ; l’homme ayant ainsi les mains libres, les porte sur les appas qu’il a à sa portée ; il chatouille le bout de ces tètons qui lui pressent le vit ; il passe ses mains par derrière et badine avec le ventre et la motte de la dame, et finit enfin par inonder le col et le visage de cette dernière par un déluge de foutre.

VI. La femme d’affaires, ou le rouleau
sous les bras.


La femme se met un genou en terre, l’homme debout devant elle lui met son vit par devant ou par derrière entre le bras et le corps, dessous l’aisselle, qu’elle serre doucement, l’homme pouſse en avant et en arrière, patine les tètons de la femme, qui remue moëlleusement son bras, pendant que d’une main elle tient l’homme aux fesses, s’il s’est placé en avant, les caresse et les claque légèrement en parcourant l’entre deux et y fourre dans le trou du cul un de ses doigts mouillés, de l’autre main elle lui patine les couilles et le périnée, ainsi que la racine du vit qui bientôt par suite de tous ces soins, lâche sa bordée sur le dos, les reins et les fesses de la femme. Si c’est par derrière que l’homme s’est placé, la femme ne peut faire toutes ces caresses, elle ne peut atteindre que le bout du vit de l’homme avec la main opposée à celle dont le bras est pressé contre elle pour servir de faux-con, et jouer avec cette tête de vit qui lui passe de derrière en avant sous l’aisselle et lui lance dans ce cas dans la main, le côté opposé du tèton et le ventre le foutre, résultat de cette capricieuse manière de le faire éjaculer.

VII. le jeu des fesses

L’homme est assis sur le bord d’une chaise, en avant, ou d’un banc, la femme s’en approche, en lui présentant le cul, elle se penche en avant et s’appuie sur le dos d’une autre chaise. Ses fesses étant ainsi bien exposées devant l’homme, il y place son vit en long, couché dans la fente ou entre deux de bas en haut, ses couilles et le bas du con de la femme, il presse de ses deux mains ces fesses, pour en retrécir la fente, la femme les fait remuer ainsi que ses reins, qui sont bientôt inondés des jets furieux du foutre, excité par ces caresses libidineuses, et qui retombent en ruisseaux dans cette raie du cul cause de la décharge.

Chapitre III.

Jouissances de la femme par le
secours de l’homme sans qu’il en
prenne sa part réciproque.



I. La Gamahuchade égoïste.

Le femme se met sur une colonne brisée, une table de nuit, un piédestal quelconque, où elle puisse s’assoir, et aux deux côtés duquel pendent deux cordons, après lesquels elle se soutient penchée en arrière et assise sur le bord du piédestal de façon que son coccyx porte seul, et que son con et son cul saillissent en dehors ; elle a les jambes et les cuisses écartées et les pieds posés à droite et à gauche sur des dossiers de chaises rapprochées de son siége, elle a ainsi les genoux qui remontent vers ses tètons, l’homme se met à genoux entre ces chaises et ses cuisses écartées, il approche sa bouche du con si bien en évidence, y fourre sa langue qu’il fait frétiller sur le clitoris, mouille un de ses doigts, celui du milieu, qu’il fourre dans le trou du cul de sa belle pendant qu’en faisant fourchette de ce doigt avec le doigt indicateur, il plie tous les autres et insinue ce dernier dans le con. Il fait agir tout celà en même temps, avec tous les accompagnements ordinaires, et fait pâmer la dame qui, par reconnaiſsance darde son foutre dans la bouche du gamahucheur.

II. le Pet-en-gueule égoïste

L’homme étant à genoux, penché et appuyé en arrière, sur des coussins ou carreaux empilés, la femme vient se mettre sur lui, la figure sur ses genoux, le ventre sur sa poitrine, la tête en bas, le cul en l’air, les jambes et cuisses écartées, les pieds et genoux posés à droite et à gauche dessous les bras de l’homme, qui se trouve ainsi avoir bien à sa portée, le con, le cul et les fesses de la femme, mais plus relevés que dans la description du tête-bêche renversé no 4, 2e  Section du Chapitre I ci-dessus page 113. L’homme empoigne chaque fesse de chaque main, écarte les grandes lèvres du con et du poil, fourre sa langue, et la fait jouer sur le clitoris ; il en fait autant dans le trou du cul, ou bien y met un doigt mouillé, il caresse et claque ces fesses, promène devant et derrière ses mains fourrageuses ; mais la nécessité où se trouve la femme de se servir de ses mains pour se soutenir la tête en bas, l’empêche de branler au moins son amant, qu’elle ne suce pas non plus parcequ’elle soulève le plus qu’elle peut sa tête pour que le sang n’y retombe pas à l’étouffer par suite de la position.

Elle lance bientôt dans le nez et la bouche de l’homme des flots de foutre, qui lui prouve l’effet bien heureux de ce genre de caresses.

III. La Gamahuchade à cheval.

L’homme est couché de son long sur le lit, la femme se met à genoux, de face au dessus de ses épaules, et à cheval sur sa figure, les cuisses écartées, elle se penche un peu en arrière, une main appuyée sur les oreillers, l’homme ayant ainsi sa figure entre les cuisses gamahuche la femme avec les jeux de langue et accompagnement sus détaillés ; il passe une main entre son corps et le derrière de l’une des cuisses de la femme sur le bas des reins de cette dernière pour l’appuyer contre lui, il met deux doigts de son autre main en fourche fermant les autres doigts, et il fourre une dent de la fourche dans le cul, l’autre dans le con, et les y fait entrer et sortir et tourner en tous sens, jusqu’à ce qu’il sente d’abord ces deux ouvertures lui serrer le doigt à les couper, et enfin, une décharge abondante lui tomber sur la figure et dans la bouche.

Je ne vois plus maintenant rien à t’apprendre ; te voila, dieu merci, aussi savante que moi en théorie libidineuse, et je crois que nous pouvons à présent nous livrer un peu à la pratique et puis nous endormir dans les bras l’un de l’autre.







Moyen de foutre sans faire d’enfants.




Justine. – Mon cher, j’ai encore à te demander des explications sur les prétendus moyens secrets certains, pour une femme, de se livrer au plaisir des embrassements d’un homme qu’elle aime, sans courir le danger de faire un enfant.

Charles. – Franchement, le meilleur et le plus sûr serait de n’employer, pour se prouver un mutuel amour, que les caresses sans intromission du vit dans le con, car si peu qu’il y entre, ou même s’il décharge tout proche dans les grandes lèvres, le con a une telle avidité pour le foutre chez certaines femmes, qu’il aspirerait suffisamment pour qu’on arrive au résultat redouté de la conception. Il faut donc qu’un homme s’il aime réellement la femme qu’il fout, et s’il ne veut pas risquer de lui faire d’enfant, soit bien sûr de lui, pour l’enfiler avec l’intention de se retirer à temps pour décharger complètement dehors. Il faut qu’il sorte avant que cette décharge commence et qu’il ne rentre que quand elle est bien finie, que le vit a été bien essuyé, qu’il ne lui reste pas un âtome de semence au bout, car la moindre goutte, ne tombât-elle que sur le bord des grandes lèvres du con, et non pas dedans, suffirait pour risquer de rendre mère, et il en serait de même si après être sorti, avoir déchargé dehors, le vit était remis au con avant d’être bien égoutté, pressé et essuyé de manière à ce qu’il ne restât rien, soit à la tête du vit, soit dans son canal de la précédente décharge qui put couler dans les parties sexuelles de la femme, par le frottement d’un nouvel acte vénérien, même avant qu’il eut provoqué une nouvelle décharge ; il faut donc d’abord sortir trop tôt pour ne pas sortir trop tard, la main s’employant pour achever, il vaut mieux l’employer trop vîte que de risquer de lâcher sa bordée même proche seulement du dangereux gourmand, qu’on exposerait à une indigestion de neuf mois, sans le vouloir. Il ne faut pas non plus à cause du voisinage qu’il la rende sans les mêmes précautions.

I. Sans intromission
même dans le cul.

L’un des secrets de ne pas faire d’enfants, est donc d’abord, de n’user que des caresses sans intromission du vit, ni dans le con, ni même dans le cul à cause du voisinage, et cela à toutes les fois, car je n’ajouterai pas foi à ce qu’on dit qu’il n’y a plus de danger après la première décharge qui seule serait prolifique (voir deuxième Section, Chapitre I).

II. Moucher la chandelle

Un autre, aussi sûr avec un homme raisonnable même dans ses fouteries, c’est d’aller son train, et d’aller franchement avec toutes les intromissions possibles, mais à la condition que l’homme sortira son vit du gîte avant que la décharge commence, qu’il le remontera au nombril de la femme au moins, ou s’écartera sur le côté, pour qu’avec la main la femme fasse partir loin du con, ce foutre dont elle a peur de recevoir la vertu prolifique.

Cela s’appelle : Moucher la chandelle.

III. Ne pas décharger ensemble.
Ne vous y fiez pas.

Un autre, auquel je n’ai nulle confiance, malgré les assurances qui m’ont été données de son efficacité, consiste tout simplement à ne pas decharger ensemble, c’est-à-dire que la femme veille à ne laisser partir ses écluses qu’avant ou après qu’elle a senti la rosée de l’homme, parceque selon les personnes qui préconisent ce moyen infaillible, il n’y aurait lieu à conception que lorsque les deux amants déchargent ensemble, leurs semences se mêlent à l’instant même à l’éjaculation mutuelle, prétendant que le moindre intervalle entre les deux éjaculations, ôte au mélange de ces semences leurs vertu et s’oppose à la conception.

Je ne crois pas un mot de ce systême ; j’admets seulement que le plaisir est plus grand quand les deux amants déchargent ensemble, celà est incontestable, et que dans ce cas aussi, les parties génératrices sont par cette raison même, si l’on veut, mieux disposées pour engendrer, mais il ne s’en suit nullement qu’elles n’engendrent pas, s’il n’y a pas simultanéité complète dans l’éjaculation des semences, celà est démenti par une foule d’expériences dont l’analyse ne peut trouver ici sa place qui est dans les livres de médecine.

IV. le ruban ou redingotte anglaise.

Un autre moyen c’est l’emploi du ruban ou redingotte anglaise, condom &a nom qu’on donne à une espèce d’étui, fait exprès, ouvert d’un côté où on a mis des rubans pour le fermer avec un coulisse et l’attacher autour de la racine du vit, l’autre côté est fermé en forme de fond de dé à coudre ; cet étui est fait de la peau fine appelée baudruche, il est sans couture, et a la forme et la longueur nécessaire pour recouvrir le vit tout entier. On l’emplit d’eau, ou on souffle dedans avant de s’en servir, (mais l’eau vaut mieux) pour s’assurer qu’il n’a ni trou ni fissure, et pour qu’étant humide, il colle mieux sur le vit ; on le vide et on en affuble le membre viril, dont la tête vient au bout du fond en forme de dé à coudre, et à la racine duquel on noue les rubans qui sont à l’autre bout. On se livre ensuite en toute sureté à la fouterie. La semence au lieu de se répandre dans le vagin de la femme, est obligée de rester dans cet étui, qui est si mince du reste, que ni la femme ni l’homme ne s’apperçoivent de sa présence pendant l’action, qui s’opère en conséquence avec les mêmes voluptés que s’il n’y avait pas d’intermédiaire entre les parties sexuelles de l’amant et de sa maîtresse.

Mais justement parcequ’il est mince, cet étui, que l’on emploie aussi pour se préserver de l’atteinte des maladies vénériennes quand on a affaire à quelqu’un qui donne des doutes sur sa santé, laisse la crainte qu’il ne se crêve pendant l’action, ou que le frottement l’use assez, pour qu’une liqueur d’ailleurs subtile puisse la traverser et qu’ainsi son secours devienne inutile. Celà peut sans doute arriver, mais cela est rare, surtout en mettant le prix convenable à ces rubans ou redingottes. J’en ai usé beaucoup avec quelques dames craignant la grossesse et jamais elles n’ont crevé. Seulement leur emploi est assez ennuyeux à la longue, par les soins qu’il demande avant et après chaque emploi, car il faut renouveller la redingotte après chaque coup.

V. L’Éponge.

Le dernier moyen dont j’ai fait usage aussi dans le même but, est fondé sur une vérité incontestable d’histoire naturelle relative à la génération ; c’est qu’il est constant que pour produire la conception, la semence doit être pure et sans le moindre mélange, une liqueur quelconque, un âtome d’air ou de quoi que ce soit qui se mêlerait à cette semence, lui enlèverait toute espèce de vertu prolifique. Or, en combinant ceci avec cette autre nécessité, pour la génération, que la semence pénètre dans certains canaux spéciaux, qui ont leur entrée dans le vagin et la matrice, on a imaginé de se servir d’une petite éponge ronde, fine, de la grosseur de deux pouces dos à dos, et traversée par un cordonnet de soie, dont un bout pend de dix à douze pouces plus ou moins. On trempe cette éponge dans de l’eau saturée de vinaigre ou de tout autre acide inoffensif quand il [est] étendu suffisamment d’eau, puis on plonge cette éponge ainsi imbibée dans le con en veillant à ce que le bout du cordonnet de soie qui la traverse, reste en dehors des grandes lèvres, pour retirer l’éponge en tirant ce bout de soie, après chaque consommation d’acte vénérien, afin de rincer l’éponge, l’imbiber de nouveau et le replacer avant de recommencer un autre acte.

On comprend qu’au moyen de la présence de cette éponge mouillée dans le con, outre que la décharge de l’homme rencontre un obstacle entre elle et les canaux de la conception dans le sein de la femme ; si la semence franchissait cet obstacle, ce ne pourrait être qu’en se mêlant avec l’eau acidulée dont l’éponge est imbibée, ce qui ôterait toute vertu prolifique à cette semence avant qu’elle peut arriver aux canaux où cette vertu s’exerce.

Je ne connais pas d’autres moyens de sécurité contre la conception, c’est aux amans à choisir entre ceux là, ou à en trouver d’autres s’il est possible, et s’ils n’ont pas confiance bravement dans cette vérité, qu’en amour comme en guerre tous les coups ne portent pas et que les plus poltrons sont les premiers pris. Comme je mets de côté ainsi que je te l’ai dit, les raisons de religion lorsqu’il s’agit de ces matières, j’ai beaucoup d’indulgence pour les faiblesses des femmes qui veulent du plaisir sans courir le danger d’enfants. Mais cette indulgence n’existe plus s’il s’agit de détruire le résultat d’une faiblesse, car alors on commet une faute contre la société on sait assurément que l’acte qui en est la cause originaire, n’a plus d’excuse et n’est plus que le premier pas d’un crime. Quand on emploie des moyens pour empêcher la conception, on ne fait pas plus de mal, on n’est pas plus coupable que quand on se branle solitairement ; mais si vous cherchez à détruire une conception opérée vous détruisez un être qui appartient à la société dont vous faites partie, vous foulez aux pieds les lois humaines et sociales.

Aussi ne te dirai-je rien des moyens propres à procurer l’avortement qui est comme tu le sais la destruction d’un enfant conçu.

Justine. – Et tu as raison, ce dernier point me fait trop d’horreur pour m’inspirer la moindre curiosité. Je te remercie, je suis maintenant pleinement satisfaite sur tout ce que je voulais savoir, et suis toute prête à te témoigner comme tu voudras ma reconnaissance pour la peine que tu as prise et surtout la bonne grâce que tu y as mise.