Ingres d’après une correspondance inédite/LV

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LV
Ingres a Pauline Gilibert.
Décembre 1847.

Ma chère enfant, nous sommes encore sous le coup qui vient de vous frapper. Vous avez perdu une seconde mère et une bonne tante qui vous ont, toutes deux, tendrement aimée comme vous le méritiez. Dieu les aura bénies, parce qu’elles étaient bonnes. Ayez courage dans cette triste circonstance et tournons toute notre tendre sollicitude vers votre cher père. C’est ce bien bon ami qui occupe douloureusement notre pensée… Remettons tout à la bonne Providence…