...Mais la forme des porches la plus habituellement adoptée devant les
constructions civiles, telles que hospices, maladreries, maisons de réunion
de bourgeois, habitations rurales, est celle que retrace notre
figure 39. Ces annexes se composaient d'un bahut avec pilettes de pierre
sur lesquelles des sablières de bois portaient une charpente lambrissée
dont l'écartement n'était maintenu que par des entraits retroussés. La
légèreté de ces sortes de constructions n'a pas permis qu'elles arrivassent
jusqu'à nous, et s'il en reste encore quelques débris, c'est qu'ils ont été
engagés au milieu de bâtisses plus récentes. Dans les contrées du Nord,
en Suède, en Angleterre même, on a continué fort tard à élever des
porches
suivant ce système; aussi en trouve-t-on encore quelques-uns
debout, d'autant que les charpentes mises en œuvre étaient, dans ces
pays, beaucoup plus épaisses que celles adoptées en France...
Cette œuvre est également dans le domaine public dans tous les pays pour lesquels le droit d’auteur a une durée de vie de 100 ans ou moins après la mort de l’auteur.
Cette œuvre est dans le domaine public aux États-Unis car elle a été publiée avant le 1er janvier 1929.
...Mais la forme des porches la plus habituellement adoptée devant les constructions civiles, telles que hospices, maladreries, maisons de réunion de bourgeois, habitations rurales, est celle que retrace notre figure 39. Ces annexes se composaient d'un