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Tu pourras trouver sur cette page d'aide d’autres informations à ce sujet. Pour t'inscrire, c'est par ici. Amicalement, Sapcal22 2 novembre 2009 à 07:52 (UTC) |
Bonjour, tu as créé le texte sous forme de catégorie, ce qui fait qu'il n'est pas possible de le renommer. Peux tu créer le texte sous le titre qui convient Essai de Sciences Maudites – Tome 1 : Au Seuil du Mystère/Appendice IV, ainsi que le sommaire de l'ouvrage complet pour situer le contexte. Toutes les informations complémentaires au texte doivent être mises en page de discussion. Cordialement Sapcal22 2 novembre 2009 à 07:52 (UTC)
Bonsoir,
Même erreur que ci-dessus avec ce texte :
- Mercure de France
On ne connaissait jusqu'ici, comme on le verra plus loin, que quelques pages du Traité de la réintégration des êtres (I). C'est grâce à M. René Philipon que nous devons de pouvoir désormais le lire dans son entier et déterminer, par suite, d'une manière complète et précise, la doctrine, dans sa partie théorique du moins, du célèbre illuminé, Martines de Pasqually. Le Traité de la réintégration des êtres est - peut-être à dessin - un ouvrage assez mal composé. Il est écrit sans ordre et il contient des répétitions nombreuses et des digressions. La langue est assez claire cependant, quoique l'auteur emploie un certain nombre de mots dans un sens qui n'est propre qu'à lui. Le Dieu de Pasqually n'est pas absolu, infini, et il est contradictoire. Il dénie, en effet, à Dieu le pouvoir de connaître les pensées des ses créatures avant que celles-ci ne les aient conçues. Sa prescience n'est donc pas absolue. D'autres part, il dira, dans la même phrase: "Il ne peut y avoir du vide auprès du Créateur, ni dans son immensité n'ayant pas de bornes, tous les esprits y trouvent facilement leur place dès qu'ils sont émanés du sein du Créateur; et aussi cette immensité s'étend à mesure que le Créateur émane des esprits de son sein (2)." D'un côté, l'immensité de Dieu n'a pas de bornes, de l'autre elle s'étend: la contradiction est évidente. Pour Pasqually, il n'y a pas trois hypostases, c'est-à-dire trois personnes distinctes en Dieu: "Ces trois personnes, écrit-il, ne sont en Dieu que relativement à leurs actions divines, et on ne peut les concevoir autrement sans dégrader la Divinité, qui est indivisible et qui ne peut-être susceptible, en aucune façon, d'avoir en elle différentes personnalités distinctes les une des autres. S'il était possible d'admettre dans le créateur des personnes distinctes, il faudrait alors en admettre quatre au lieu de trois, relativement à la quatriple essence divine qui doit vous être connue, savoir: l'esprit divin 10, l'esprit majeur 7, l'esprit inférieur 3 et l'esprit mineur 4. C'est là que nous concevons l'impossibilité qu'il y a que le Créateur soit divisé en trois natures personnelles. Que ceux qui veulent diviser le Créateur en son essence observent au moins de le diviser dans le contenu de son immensité (I)." Plus loin, il dira, e, parlant du Christ et de l'Esprit-Saint: "Ils ne sont compris ni l'un ni l'autre dans aucune espèce d'émanation ni d'émancipation. Leurs actions et leurs opérations ont été et seront toujours purement spirituelles, divines, sans aucun assujettissement au temps ni au temporel (2)." Mais ailleurs il écrit que le nombre 8 (3) symbolise "l'esprit doublement fort appartement au Christ" (4), tandis que dans tout le cours de l'ouvrage le nombre 10 symbolise la Divinité. Si le mot Christ désigne ici une des trois personnes divines, il est claire qu'il y a contradiction. Martines associe, d'une manière assez heureuse, les deux doctrines de l'émanation et de la création. Il fait dire à Noé, parlant aux habitant de l'arche, avant de les congédier:
Ce n’est pas une catégorie, il faut que tu le recopies dans l’espace principal. Amicalement, --Zyephyrus 3 novembre 2009 à 19:21 (UTC)
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