Aussi, quand, dès l’aurore, Parju s’en vint conter à M. Dubenoît sa mésaventure de la nuit, tentative d’arrestation d’un malfaiteur, résistance de ce dernier, qui s’enfuit sans laisser d’adresse, mais en emportant la plaque sacrée, M. Dubenoît s’écria de suite :
Ça, c’est du Blaireau tout pur.
Coffrez-moi Blaireau.
[…] M. Dubenoît s’écria de suite :
— Ça, c’est du Blaireau tout pur. Coffrez-moi Blaireau.