Discussion:Le Tueur de daims

Informations sur l’édition de Le Tueur de daims

Édition : Édition Furne et Cie, Charles Gosselin, Paris, 1842


Source : Gallica (OCR du fichier image)


Contributeur(s) : Herisson


Niveau d’avancement : Fait


Remarques :


Relu et corrigé par : Herisson, Didieram



Statistiques

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Environ :

  • 223 788 mots
  • 1 279 410 caractères (1 057 952 sans espace)

soit 15 heures de lecture en moyenne (w:Mot_par_minute à 250 mots/mn)

Orthographe

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Particularités d'époque, à vérifier...

  • Voyez-vous ce jeune hêtre un peu tortu - ok
  • moccasin, papooses (en anglais, provenant des langues indiennes)
  • Shakspeare (aujourd'hui plutôt Shakespeare)
  • poëte, complétement -> ok
  • grand'faim grand'chose entr'ouvert -> ok
  • hourah
  • côteaux
  • impressives -> problème de la traduction pour impressionnant
  • s'harmoniait
  • ineffaçablement
  • sèchera, assené, faseya -> ok

Résumés, articles…

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  • Revue des lectures [1]
    • N° 124. Fenimore COOPER, Le Tueur de daims. Une bien vieille connaissance, n'est-ce pas, que ce vieux Bas-de-Cuir qui charma notre jeunesse ! Bas-de-Cuir, jeune, était le « tueur de daims » : et ce sont ces premiers épisodes que nous conte Cooper. Mais c'est si connu ! En tout cas, irréprochable, et intéressant.
  • Revue critique d'histoire et de littérature 1928
    • Margaret Murray GIBB, Le roman de Bas de Cuir. Étude sur Fenimore Cooper et son influence en France. Paris, Champion, 1927; in-8°, viii-227 pages, 3 planches hors texte.
      • Le dernier des Mohicans, la Prairie, les Pionniers… qui, parmi les jeunes gens d'aujourd'hui a lu ces vieux livres qu'on a cessé de réimprimer ? Qui ne les avait pas lus, il y a quarante ou cinquante ans ? La mode en est morte tout-doucement ; en 1900, c'était fini. Mais les livres qu'on ne lit plus ont droit à une seconde vie, celle qu'essaient de leur donner les érudits ; Fenimore Cooper et son influence en France offraient un bon sujet de thèse. Mlle M. M. Gibb s'en est emparée, et elle nous apporte un livre fort agréable et instructif. Elle a fait un choix dans l’œuvre abondante et médiocre de Cooper et s'est bornée aux cinq romans où paraît Bas de Cuir, l'homme à la longue Carabine, l'étonnant chercheur de pistes, l'illustre tueur de daims et de Peaux Rouges. Les cent premières pages de son livre (Bas de cuir et Fenimore Cooper. Bas, de cuir chez lui) sont une étude adroite de l’œuvre : les sources de Cooper, ses procédés littéraires, ses principaux types de personnages, son esprit étroitement puritain (cette méthode très scrupuleuse fait d'ailleurs un peut disparate avec la minceur du sujet)…
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