Dictionnaire historique et critique/11e éd., 1820/Marulle 2


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MARULLE (Michel Tarchaniote (A)) se retira en Italie après que les Turcs eurent pris Constantinople, où il était né. Ce ne fut point par zèle pour le christianisme qu’il abandonna son pays ; car ses sentimens en matière de religion étaient fort éloignés de l’orthodoxie (B). Ce fut sans doute la crainte de l’esclavage, ou l’envie de s’épargner le cruel chagrin de voir et d’ouïr les insultes d’un insolent vainqueur, qui l’éloignèrent de la Grèce. Il s’attacha au métier des armes en Italie (C) ; et servit dans la cavalerie sous Nicolas Ralla [a], qui était de Lacédémone. Il joignit les lettres avec les armes, et ne voulut pas être moins poëte que soldat : et comme il craignit qu’on ne trouvât pas assez extraordinaire qu’il sût faire des vers grecs, il s’appliqua soigneusement à l’étude de la poésie latine, et s’acquit par cet endroit-là beaucoup de réputation [b]. Ses vers latins consistent en quatre livres d’épigrammes, et en quatre livres d’hymnes. Il avait commencé un poëme de l’éducation des princes, qu’il n’acheva pas. Ce qui en fut trouvé parmi ses papiers fut imprimé avec les épigrammes et avec les hymnes. Il s’est fait plusieurs éditions de tout cela. Les goûts sont partagés sur ces poésies. Il y a des critiques qui en disent beaucoup de mal. Tels sont les deux Scaliger [c]. D’autres écrivains ont donné beaucoup de louanges à Marulle [d]. Il se fit beaucoup d’ennemis, pour avoir censuré les anciens poëtes latins [e]. Floridus Sabinus entreprit leur défense, et le traita durement. Politien eut une grosse querelle avec lui [* 1] pour le même sujet [f]. Nous parlons ailleurs [g] du mariage de Marulle avec la savante Alexandra Scala. Mais c’est ici qu’il faut dire que c’était un esprit inquiet, et qu’il ne trouva jamais une assiette fixe, ni pour son corps, ni pour ses études (D). Les autres savans allaient alors à la gloire par le chemin de la traduction : il méprisa ce travail [h] (E), ou comme au-dessous de lui, ou comme trop hasardeux ; et il songeait à quelque chose d’une plus grande importance, lorsqu’il se noya dans une rivière de Toscane (F), en pestant contre le ciel. Ce fut l’an 1500 (G). J’ai lu dans un livre assez nouveau, que cette infortune lui avait été prédite long-temps auparavant ; mais le témoin qu’on en allègue ne dit rien moins que cela (H).

(A) Tarchaniote. ] Je crois que c’était le nom de famille de sa mère ; car on voit, dans le premier livre de ses épigrammes, l’épitaphe de Michel Tarchaniote, son aïeul maternel, et celle d’Euphrosine Tarchaniote, sa mère ; et l’on voit, au troisième livre, celle de Paul Tarchaniote, son oncle maternel. Quant à son aïeul paternel, dont l’épitaphe se trouve peu de pages après, il se nommait Philippe Marulle. Un des quatre savans grecs qui cherchèrent un asile en France sous le règne de Charles VII, et qui furent recommandés par Philelphe à Guillaume des Ursins, chancelier de France, se nommait Nicolas Tarchaniote [1].

(B) Ses sentimens en matière de religion étaient fort éloignés de l’orthodoxie. ] C’est ce que nous apprenons de Léandre Alberti [2], qui fait cette observation en passant, lorsqu’il parle de la rivière où Marulle se noya : flumen Cæcina Marulli Bizantini, viri docti, sed de christianâ pietate haud sanè sentientis interitu illustratrum. Cela qui a publié quelques notes bien curieuses sur Sannazar, se sert de deux preuves contre ceux qui ont prétendu que Jean-François Pic aida Marulle à faire ses hymnes : la première, que Pic s’était tellement attaché à l’étude de la théologie chrétienne, qu’il n’est nullement probable qu’il se soit soucié d’aucune politesse de style ; la seconde, qu’il ne paraît aucune trace de christianisme dans les hymnes de Marulle [* 2]. In hymnis adjutum fuisse à Joanne Francisco Pico erant qui assererent Lilii Gyraldi ætate, quod tamen mihi neutiquàm verisimile fit, cùm constet Pico tanto studio incubuisse christianæ theologicæ, ut omnem prorsùs styli atque elocutionis ornatum neglexisse meritò videri possit. Marullum verò si legas, nec volam, nec vestigium hominis christiani invenias [3]. C’est bien raisonner, ce me semble. Piérius Valérianus rapporte que ce poëte blasphéma terriblement lorsqu’il mourut. Ferunt illum primo statim casu vehementer excanduisse, utque erat iræ impatiens convitia et maledicta in superos detorsisse [4]. Érasme aurait trouvé supportables les poésies de Marulle, si elles eussent contenu moins de paganisme : Marulli pauca legi, dit-il dans son Ciceronanius, tolerabilia si minùs haberent paganitatis. Ce paganisme n’est pas le plus grand mal de Marulle : ses impiétés sont beaucoup plus condamnables : c’est par-là sans doute que Lucrèce lui avait tant plu, qu’il en donna une nouvelle édition, et qu’il tâcha de l’imiter [5], et qu’il disait qu’il fallait seulement lire les autres poëtes, mais apprendre par cœur Virgile et Lucrèce [6]. Cette édition est foudroyée dans les notes de Joseph Scaliger sur Catulle. Voici une preuve de l’audace impie avec laquelle Marulle blasphémait contre le ciel :

At pia pro patriâ, pro dîs, arisque tuendis,
Indueras Latium dux caput arma tibi.
Ultoresque deus jurata in bella trahebas,
Si modò sunt curæ jusque piumque deis
Sed neque fas, neque jura deos mortalia tangunt.
Et rapit arbitrio sors fera cuncta suo.
Nam quid prisca fides juvit, pietasque Pelasgos ?
Nempe jacent nullo damna levante deo.
Aspice Byzanti quondàm gratissima divis
Mœnia, Romanæ nobile gentis opus
Hæc quoque jampriden hostili data præda furori est,
Solaque de tantâ gloria gente manet [7].

(C) Il s’attacha au métier des armes en Italie. ] L’auteur des Anecdotes de Florence [8] dit que Marulle passa de Grèce en Italie dans une compagnie de cuirassiers ; cela pourrait être ; mais Paul Jove, que cet auteur a le plus suivi pour ce qui regarde les savans de ce temps-là, ne le dit point. Voici ses paroles : Inter alarios [* 3] equites descriptus, Nicolao Rallâ Spartano duce in Italiâ militavit. Je ne crois pas qu’alarius eques doive être traduit cuirassier.

(D) C’était un esprit inquiet, qui ne trouva jamais une assiette fixe, ni pour son corps, ni pour ses études. ] Je citerai deux auteurs. Inquieto ingenio nullibi sedem stabilem nactus, in cursum studiorum ac itinerum semper fuit [9]. Nullius unquàm principis ita liberalitate ita adjutus, ut in litterarum otium se conferre posset [10]. Je ne sais s’il faut opposer à leur témoignage celui de Crinitus. On en fera ce qu’on voudra ; le voici en vers :

Et gradum
Placuit ad urbem flectere,
Quâ noster Medices Pieridum parens
Marulle hospitium dulce tibi exhibet.
Ac te perpetuis muneribus fovens
Phœbum non potitur tela resumere
Laurens Camænarum decus [11].


Marulle avait donc un bon Mécène en la personne de Laurent de Médicis. Crinitus a bien loué Marulle. Voyez nommément sa Nænia de obitu poëtæ Marulli.

(E) Il méprisa le travail de la traduction. ] M. Varillas [12] débite que Laurent de Médicis conjura Marulle, par des lettres qui subsistent encore, de traduire les œuvres morales de Plutarque ; mais que Marulle avait tant d’aversion pour cette sorte de travail, où il fallait (disait-il) se rendre esclave des sentimens d’autrui, qu’il lui fut impossible d’en achever la première page.

(F) Il se noya dans une rivière de Toscane, en pestant contre le ciel. ] C’est celle qui passe à Volterre, et que les anciens nommaient Cecina. Elle retient encore ce nom, à ce que disent Cluvier et M. Baudrand : ainsi je ne comprends point pourquoi Piérius Valérianus a dit qu’elle se nomme aujourd’hui Sicla [13] ; ni pourquoi M. Varillas la nomme rivière de Volterre [14]. Paul Jove dit qu’elle était plus grosse qu’à l’ordinaire le jour que Marulle s’y noya [15] : mais Valérianus dit tout le contraire ; et comme il entre plus que l’autre dans le détail, il est plus digne de foi, on sent qu’il avait examiné les circonstances. Marulle, dit-il, s’étant aperçu que son cheval s’enfonçait de telle sorte par les pieds de devant, qu’il ne pouvait plus se dégager, se mit en colère, et lui donna de l’éperon ; mais il tomba avec le cheval, et ayant la jambe engagée sous le ventre de la bête, il ne fallut que peu d’eau pour l’étouffer [* 4]. Fluvium vel exiguâ tunc aquâ fluentem ingressus, sive equum potaturus, sive aliâ de causâ tantillum immoratus, sensit equum anterioribus pedibus ita in arenas alvei semper infidi voraginosas absorberi ut emergere indè non posset.... modicâ admodùm ejus profluentis aquâ suffocatus interiit [16]. La licence que M. Varillas se donne de paraphraser ce qu’il emprunte d’autrui, a été à contre-temps en cette rencontre. Pour mettre en français le solito inflatior de Paul Jove, il dit que les pluies avaient extraordinairement enflé la rivière, et néanmoins, selon lui, Marulle la traversait à gué. Il était donc ivre ou fou, dira-t-on ; l’adverbe extraordinairement est un arrêt pour cela en cette rencontre. N’allons pas si vite ; je me souviens d’avoir lu dans un ouvrage de Lancelot de Pérouse, que les habitans du pays avertirent notre Marulle de ne passer point la rivière, parce que les pluies qui étaient tombées pendant la nuit l’avaient grossie. Il leur répondit qu’il avait à craindre Mars, et non pas Neptune. Il se fondait sur les astrologues [17] qui firent son horoscope, et qui lui dirent que c’étaient les armes qu’il devait craindre, et qu’il ferait bien de n’aller pas à la guerre [18]. Volaterran remarque que Marulle, qui avait logé chez lui, en était parti le même jour qu’il se noya. Il en parle honorablement [19]. Vossius, dans son Traité des poëtes latins, veut que ce jour-là soit le 15 de juin 1511 [20]. Je crois que cette erreur vient originairement d’une lecture trop précipitée du passage de Paul Jove, où le jour auquel Marulle mourut est marqué en cette manière : Eo die quo Ludovicus Sfortia captus ut ferrato in carcere miser expiraret, in ulteriorem Galliam est perductus. Quelqu’un, n’y prenant pas garde d’assez près, aura confondu le jour de la capture de Louis Sforce avec celui de sa mort, et comme cette mort arriva en 1511, on aura conclu que notre poëte mourut aussi en 1511. La capture de Louis Sforce se fit le onzième d’avril 1500 [21]. M. Baillet [22] a suivi à un jour près la chronologie de Vossius.

(G) ..... Ce fut l’an 1500. ] La matière dont Paul Jove caractérise cette année ne permet pas de douter qu’elle ne fût la dernière du XVe. siècle. Voyez la remarque précédente à la fin. D. Pierre de St.-Romuald ne se mécompte que d’environ la moitié d’un siècle. Voici ce qu’il dit, sous l’an 1545 : « Michel Marulle, natif de Constantinople, qui a écrit fort élégamment en vers latins, à l’imitation de Tibulle et de Catulle, et qui avait servi l’empereur Maximilien en qualité de capitaine, se noya dans la Toscane ; ce que déplorant un poëte italien en son épitaphe, il dit à la fin que s’il devait perdre la vie en l’eau,

 » Mergier Aonio flumine debuerat,


» Façon de parler qui n’a pas agréé à feu M. de Balzac [23]. »

Sandius a réfuté Vossius, par la raison que Pontanus, qui cessa de vivre l’an 1503 ou 1505, a fait des vers sur le décès de Marulle. Il observe qu’il y a des gens qui ont mis au 16 de mai 1466 la mort de Marulle, et il les convainc de fausseté par les épigrammes de ce poëte contre le pape Innocent VIII, et sur la mort de Théodore de Gaza, et sur celle de Jean Pic de la Mirandole. Ce pape siégea depuis l’an 1484 jusqu’en 1492. Théodore de Gaza mourut l’an 1478, et Jean Pic de la Mirandole l’an 1494. Ainsi les preuves de Sandius sont très-bonnes. Il rejette avec raison le sentiment de ceux qui ont dit que Marulle florissait l’an 1520 [24].

(H) .... J’ai lu dans un livre nouveau que cette infortune lui avait été prédite ; mais le témoin qu’on cite ne dit rien moins que cela. ] Pour vider cette question de fait, il ne faut que comparer le passage de l’auteur moderne avec les paroles de Piérius Valérianus, c’est son témoin. Suffocatus est Marullus in Tusciæ amne Cecinâ fallente equum vestigio. Miserabile id leti genus multis annis antè ipsi prædictim fuisse, indèque semper aquas timuisse auctor est Pierius Valerianus in Dialogis de litteratorum infelicitate, qui rei veritatem ignorare non poterat, ipsamque adeò carmine quodam suo, multò antè Marulli mortem posteritati palàm fecerat [25]. Selon ce narré, nous n’aurions pas ici une de ces prédictions après coup qui sont si fréquentes, mais une prédiction publiée long-temps avant l’événement : elle serait donc de poids si le fait était certain. Or nous allons voir que Piérius Valérianus ne parle point de la prédiction, et que ses vers sont postérieurs à l’infortune de Marulle. J’ai cité ci-dessus [26] un long passage de ces savans malheureux, duquel la conclusion était, aquâ suffocatus interiit. Voici les paroles immédiatement suivantes : Verum igitur fuit quod meus Pierius jam tum puer de Marullo cecinit. Cat. Quidnam ? illud musici recita, obsecro, quoniàm libenter ejus cantilenas ausculto. On rapporte les vers de Piérius qui roulent sur cette pensée, qu’il ne fallait pas que Marulle se fâchât de périr dans l’eau. La crainte qu’on lui attribue ne regarde que le temps auquel son cheval s’abattit sous lui dans le Cécina. Mais, dira-t-on, Piérius était fort jeune lorsqu’il fit ces vers, jam tùm puer : il les fit donc avant l’année 1500 ; car, selon M. de Thou, il mourut en 1550, âgé de quatre-vingt-trois ans. Je réponds que M. de Thou s’est trompé. L’Impérialis [27] met la mort de Piérius à l’année 1558, et ne lui donne alors que quatre-vingt-un ans. Ainsi il n’aurait eu que vingt-trois ans lorsque Marulle mourut. Or il n’est pas sans exemple dans la belle latinité qu’à cet âge-là on soit nommé puer : et, quoi qu’il en soit, les vers de Piérius n’ont point précédé la mort de Marulle.

  1. * Leclerc prétend que Bayle se fonde sur ce que le Mabilius des poésies de Politien serait Marulle, et il reproche à Bayle de se contredire, puisque dans l’article Politien, remarque (O), il déclare ne pas reconnaître Marulle dans Mabilius. Le désir de trouver Bayle en contradiction est tout ce que prouve la remarque de Leclerc. Il y a eu querelle entre Marulle et Politien ; voilà ce que Bayle dit dans les deux articles, sans aucune contradiction.
  2. * Cependant le Crescimbeni, que cite Joly, dit avoir vu une traduction, faite par Marulle, de la chanson de Pétrarque : Vergine bella.
  3. (*) S’il était sûr que Paul Jove eût écrit alarios, sans aucun trait d’abrévation dans la copie, alarii equites seraient, selon moi, des chevau-légers, et non pas des cuirassiers, la cavalerie légère avant, pour ainsi dire, des ailes en comparaison de l’autre. Mais peut-être au lieu d’alarios equites, la bonne leçon est-elle alabasiarios equites, des arbalétriers, comme était alors la cavalerie albanaise, depuis connue en France sous le nom d’estradiots. Rem. crit.
  4. * Joly reproche à Bayle d’avoir paraphrasé Valérianus, en disant que Marulle se noya en pestant contre le ciel : « Un homme qui tombe dans l’eau, sans s’y attendre, dit Joly, a-t-il la liberté de vomir des imprécations contre le ciel. » La circonstance que Marulle se mit en colère et qu’il donna de l’éperon à son cheval, rapportée par Bayle, se trouve pourtant dans le latin : dùmque indignatus eum (equum) calcaribus adurget, etc. Bayle, pour ne pas trop allonger la citation a supprimé ces mots et quelques autres. Quelque pris au dépourvu qu’ait été Marulle, puisqu’il a eu le temps de donner de l’éperon à son cheval, il doit avoir eu le temps de jurer : les deux choses se font souvent ensemble.
  1. Jovius, in Elog., cap. XXVIII, militari stipendio sese alere coactus. Pier. Valer., de Litter. Infelicit., lib. II.
  2. Jovius, ibidem.
  3. Jul. Cæs. Scaliger, Poët., lib. VI, cap. IV, Joseph. Scalig., in Catull., epigr. LXVII.
  4. Crinitus, de honestâ Discip., lib. XXIII, cap. VII. Joh. Secandus. epigramm. Jovius, Elogiorum cap. XXVIII. Pontanus, apud Jovium, ibidem. Pierius Valerianus, de Litteratorum Infelicitate.
  5. Voyez Crinitus, de honestâ Disciplinâ, lib. XXIII, cap. VII.
  6. Paulò antè Græcorum nomini favens, cum Politiano ejus gentis ingeniis infesto. maledicentissimis epistolis lites extenderat, Jovius, Elog., cap. XXVIII.
  7. Dans l’article Scala, tom. XIII.
  8. Jovius, Elog., cap. XXVIII.
  1. Guillet, Vie de Mahomet II, tom. I, pag. 258, ex Turco-Græc., pag. 91.
  2. Descript. Ital., pag. 44.
  3. Not. ad Sannaz., pag. 189, edit. Amstel, 1689. Voyez aussi pag. 201.
  4. Pier. Val., de Litt. Infel., lib. II, p. m. 70.
  5. Gyrald., dialog. I de Poëtis sui temp.
  6. Crinitus, de honestâ Disciplin., l. XXIII, cap. VII.
  7. Marul., Epigr., lib. I, pag. m. 16, 17.
  8. Pag. 179. Les imprimeurs, qui ont défiguré misérablement les noms propres dans cet ouvrage ont mis Marille au lieu de Marulle. À la page 161, ils ont mis Trachamote, au lieu de Tarchaniote.
  9. Jovius, in Elog., cap. XXVIII.
  10. Pier. Valer., de Infel. Litter., lib. II.
  11. Crinitus, lib. II Poëmat., pag. m. 828.
  12. Anecdotes de Florence, pag. 179.
  13. Dùm Siclam qui olim Cecina dicebatur. Pier. Valer., de Litter. Infel., lib. II.
  14. Anecd., pag. 179.
  15. Cecina amnis solito inflatior fallente equum cæco vado violenter abripuit. Jovius, cap. XXVIII.
  16. Pier. Val., de Litter Infel., lib. II.
  17. Une trop grande confiance en ces gens-là donne quelquefois autant de hardiesse que la folie ou l’ivresse.
  18. Don Secondo Lancillotti da Perugia, abbate Olivetano, dans le livre intitulé Chi l’indovina è Savio, lib. I, Disappanno III, pag. 64 : il cite Paul., Cort., I 1.
  19. Joh. Jovinianus Pontanus discipulum habuit Marullum Constantinopolitanum hospitem meum, qui eodem die quo à me Volaterris discessit in amne Cecinâ submersus est, vir acris cùm ingenii tùm judicii. Volat., lib. XXXVIII, pag. m. 1462.
  20. Id factom XVII. Kal. Jul. an. ciↄciↄxi.
  21. Labbe, Chronol. française.
  22. Jugem. sur les Poëtes, num. 1244.
  23. Saint-Romuald, Abrégé du Trésor chr., tom. III, pag. m. 300. Voyez Balzac, Socrate chrétien, pag. m. 228.
  24. Tiré de Sandius, Net. in Vossium, de Hist. lat, pag. 227.
  25. Not. ad Sannazari Eleg., pag. 191, edit. Amstel., 1689.
  26. Dans la citation (16).
  27. Voyez son Musæum Historicum, p. 40.

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