Dictionnaire de Trévoux/6e édition, 1771/COURIÈRE
(2, p. 982).
COURIÈRE se dit poëtiquement de l’aurore qui vient annoncer le jour. Lucis prænuncia. Et de la lune, qu’on a appelée, la courière des mois, l’inégale courière des nuits.
Déjà des sombres nuits la changeante Courière
Trois fois avoit fourni son obscure carrière. P. Le Moine.