De la Seine à la Volga/Chapitre VIII/4

Librairie Plon (p. 251-262).
à pied à travers le caucase

Je me serais volontiers arrêté à Tiflis pendant quelques jours, mais la voix intérieure qui, sans cesse, me rappelait l’itinéraire tracé pour mon voyage, se faisait plus impérieuse lorsque de nouveaux obstacles surgissaient devant Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/271 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/272 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/273 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/274 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/275 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/276 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/277 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/278 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/279 Page:Paul Lancrenon - De la Seine a la Volga, 1898.djvu/280 aux Russes ; aucun tunnel ne troue encore les Pyrénées centrales, cette chaîne sœur du Caucase.

À la station de Balla, on tombe brusquement dans la plaine russe, tout change d’aspect, c’est la fin de l’Asie et le commencement de l’Europe.