Correspondance littéraire, philosophique et critique, éd. Garnier/1/54

Texte établi par Maurice Tourneux, Garnier frères (1p. 336-345).
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LIV

l’Histoire naturelle#1 réussit médiocrement chez les gens instruits ; ils y trouvent des longueurs et des obscurités, de la confusion, trop de facilité à adopter des systèmes. Les femmes, au contraire, en font cas. Elles paraissent charmées de pouvoir lire avec bienséance un livre imposant où il se trouve beaucoup de choses libres et des détails qui les intéressent infiniment. Si une lecture assez réfléchie me mettait en choit de juger un si grand ouvrage, je dirais que M. de Buffon voit très-bien les faits, et médiocrement les choses métaphysiques ; qu’il a plus de lumières que de netteté dans l’esprit, que sa manière de [1] présenter ses vues est plus imposante qu’instructive ; qu’il se détermine souvent sur des probabililés ou des conjectures qui ne font pas une forte impression sur l’esprit de ses lecteurs ; que son style, qui est assez ordinairement noble et touchant, manque quelquefois de netteté, et presque toujours de précision. À tout prendre, ce livre ne répond pas à l’idée qu’on s’en était faite.


Tome Ier.

Le premier volume commence par un discours qui est fort peu de chose sur l’étude de l’histoire naturelle. Le discours suivant roule sur la théorie de la terre :

M. de Buffon prétend que la terre a été autrefois tout à fait couverte par les eaux, et il le prouve par la quantité de coquillages qui se trouvent sur les plus hautes montagnes. Il soutient en second lieu que les eaux ont séjourné longtemps sur la terre. Nous trouvons, dit-il, très-souvent des couches de matière plus pesante posées sur des couches de matière plus légère, ce qui ne pourrait être si toutes ces matières, dissoutes et mêlées en même temps dans l’eau, se fussent ensuite précipitées au fond de cet élément, parce qu’alors les matières plus pesantes seraient descendues les premières et au plus bas, et chacune se serait arrangée suivant sa gravité spécifique.

M. de Buffon demande pourquoi les plus hautes montagnes se trouvent plus près de l’équateur que des pôles. Il répond que le flux de la mer, en s’exerçant avec plus de force sous l’équateur que dans les autres climats, y porte beaucoup de matières. Il dit que la terre a un mouvement rapide sur son axe, et par conséquent une force centrifuge plus grande à l’équateur que dans toutes les autres parties du globe ; il résulte de ces deux observations que, quand même on supposerait que la terre est sortie des mains du Créateur parfaitement ronde, son mouvement diurne et celui du flux et reflux auraient élevé peu à peu les parties de l’équateur.

Tout le reste du volume renferme ce qui concerne les fleurs, les montagnes, les vents, les volcans, les pluies, etc. Il y a dans tout cela des faits extrêmement curieux. Mais M. de Buffon en abuse souvent pour étayer son système favori, qui est que la terre a été fort longtemps submergée.


Tome II.

La génération des animaux, ce mystère sur lequel la sagacité des physiciens s’exerce en vain depuis si longtemps, est l’objet principal du second volume de l’Histoire naturelle. Le départ de tous ceux qui ont fait des recherches et des systèmes sur cette matière, est qu’ils se sont uniquement attachés à la génération de l’homme et des animaux, et n’ayant considéré que cette génération particulière sans faire attention aux autres espèces de génération que la nature nous offre, ils n’ont pu avoir des idées générales sur la reproduction ; c’est à cela principalement qu’on doit attribuer le peu de succès de leurs travaux sur cette matière.

M. de Buffon entreprend ici d’exposer les systèmes des physiciens, de développer la source de leurs erreurs et de montrer le chemin qu’il a pris pour arriver à quelque chose de certain sur cette importante question. Aristote pensait que le mâle fournit seul le principe prolifique, et que la femelle ne donne rien qu’on puisse regarder comme tel ; car quoiqu’il dise, dans quelques-uns de ses ouvrages, que la femelle répand une liqueur séminale comme un principe prolifique, le principe efficient existe seulement dans la liqueur séminale du mâle, laquelle n’agit pas comme matière, mais comme cause.

Hippocrate a établi une opinion qui a été adoptée par le plus grand nombre des médecins jusque dans les derniers siècles. Son sentiment était que le mâle et la femelle avaient chacun une liqueur prolifique. Il voulait de plus que dans chaque sexe il y eût deux liqueurs séminales, l’une plus forte et plus active, l’autre moins forte et moins active. La plus forte liqueur du mâle mêlée avec la plus forte liqueur séminale de la femelle produit un enfant mâle, et la plus faible liqueur du mâle mêlée avec la plus faible liqueur de la femelle produit une femelle.

Harvey, ce fameux anatomiste à qui on est redevable d’avoir mis hors de doute la question de la circulation du sang, que quelques observateurs avaient soupçonnée auparavant, prétend que l’homme et tous les animaux viennent d’un œuf, que le premier produit de la conception dans les vivipares est une espèce d’œuf, et que la seule différence qu’il y ait entre les vivipares et les ovipares, c’est que les fœtus des premiers prennent leur origine, acquièrent leur accroissement et arrivent à leur développement entier dans la matrice, tandis que les fœtus des ovipares prennent, à la vérité, leur première origine dans le corps de la mère où ils ne sont encore qu’œufs, et que ce n’est qu’après être sortis du corps de la mère qu’ils deviennent réellement des fœtus.

Ce système des œufs aurait emporté les suffrages unanimes de tous les physiciens si on n’eût pas fait un autre système qui est dû à Leuwenhoeck, qui a été confirmé par André Valisnieri, et par M. Hartsoeker, âgé de dix-huit ans, à qui se dévoila le spectacle du monde le plus imprévu pour les physiciens même les plus hardis en conjectures, je veux dire ces petits animaux jusque-là invisibles qui doivent se transformer en hommes, qui nagent en une quantité prodigieuse dans la liqueur destinée à les porter, qui ne sont que dans celle des mâles, qui ont la figure de grenouilles naissantes, de grosses têtes, de longues queues et des mouvements très-vifs. Cette étrange nouveauté étonna l’observateur, et il n’en osa rien dire. Il crut même que ce qu’il voyait pouvait être l’effet de quelque maladie, et il ne suivit point l’observation. Deux ans après, il reprit les observations du microscope, et revit ces animaux qui lui avaient été suspects. Alors, il eut la hardiesse de communiquer son observation à son maître de mathématiques et à un autre ami. Ils s’en assurèrent tous les trois ensemble. Ils virent de plus ces mêmes animaux sortis d’un chien et de la même figure à peu près que les animaux humains. Ils virent ceux du coq et du pigeon, mais comme des vers et des anguilles. L’observation s’affermissait et s’étendait, et les trois confidents de ce secret de la nature ne doutaient presque plus que tous les animaux ne naquissent par des métamorphoses invisibles et cachées, comme toutes les espèces de mouches et de papillons viennent de métamorphoses sensibles et connues. Hartsocker s’imagina que ces animaux devaient être répandus dans l’air où ils voltigeaient, que tous les animaux visibles les prenaient tous confusément ou par la respiration ou avec les aliments, que de là ceux qui convenaient à chaque espèce se rendaient dans les parties des mâles propres à les renfermer où à les nourrir, et qu’ils passaient ensuite dans les femelles où ils trouvaient des œufs dont ils se saisissaient pour s’y développer. Selon cette idée, quel nombre prodigieux d’animaux primitifs de toutes les espèces ! tout ce qui respire, tout ce qui se nourrit ne respire que d’eux, ne se nourrit que d’eux. Il me semble cependant qu’à la fin leur nombre viendrait nécessairement à diminuer et que les espèces ne seraient pas toujours également fécondes. Voilà à peu près où sont demeurés les anatomistes et les physiciens au sujet de la génération. On fait contre tous ces systèmes des difficultés qui les rendent insoutenables. Il me reste à vous exposer le système auquel les recherches les plus exactes et les expériences les plus réitérées ont conduit M. de Buffon. Selon lui, le moyen le plus simple dont la nature puisse faire usage pour renouveler les êtres organisés, est de rassembler dans un être une infinité d’êtres organiques semblables et de composer tellement sa substance qu’il n’y ait pas une partie qui ne contienne un germe de la même espèce, et qui par conséquent ne puisse elle-même devenir en tout semblable à celui dans lequel elle est contenue. Cet appareil paraît d’abord supposer une dépense prodigieuse et entraîner la profusion. Cependant ce n’est qu’une magnificence assez ordinaire à la nature et qui se manifeste dans les vers, les polypes, les ormes, les saules, et dont chaque partie contient un tout qui par le seul développement peut devenir une plante ou un insecte. Suivant cette idée, un individu n’est qu’un composé d’une infinité de figures semblables et de parties similaires, lesquelles peuvent toutes se développer de la même façon selon les circonstances et en former de nouveaux tout comme le premier. Je n’entrerai point dans le détail des raisons métaphysiques et des expériences sur lesquelles M. de Buffon appuie cette opinion singulière. Je me contenterai de vous dire qu’il trouve que ce système s’étend non-seulement à la génération des animaux, mais encore à la reproduction des végétaux et des minéraux.

On ne peut disconvenir que cet ouvrage ne soit profond, mais il me semble que l’auteur n’a pas daigné proportionner son érudition, son style même, au commun des lecteurs. Il craint toujours de ne pas assez étayer de science et de faits tout ce qu’il dit. Chaque objet qu’il présente, présente lui-même plusieurs objets qui, subalternes, en ont eux-mêmes de subalternes. Le très-prolixe morceau de la génération ne dénote point dans son auteur le véritable esprit de système qui sait généraliser les faits et former une chaîne non-interrompue de conséquences.

Après des réflexions longues et communes sur la distinction de l’âme et du corps, M. de Buffon fait l’histoire du corps humain depuis sa naissance jusqu’à sa mort. Ce développement est agréable, sensible et intéressant. Je vais en extraire ce qui m’a paru le plus curieux et le plus utile.

Quoique la respiration soit essentielle à l’homme, l’auteur soupçonne que l’on pourrait priver d’air l’enfant nouveau-né pendant un temps considérable sans que cette privation lui cause la mort. Une expérience qu’il a faite sur des petits chiens a donné lieu à cette conjecture. Il avait mis la mère dans un baquet rempli d’eau chaude et l’ayant attachée de façon que les parties de derrière trempaient dans l’eau, elle mit bas trois chiens dans cette eau, et ces petits animaux se trouvèrent, au sortir de leurs enveloppes dans un liquide aussi chaud que celui d’où ils sortaient ; on aida la mère dans l’accouchement, on lava dans cette eau les petits chiens ; ensuite on les fit passer dans un petit baquet rempli de lait chaud, sans leur donner le temps de respirer. On les fit mettre dans du lait afin qu’ils pussent prendre de la nourriture s’ils en avaient besoin ; on les retint dans le lait où ils étaient plongés, et ils y demeurèrent plus d’une demi-heure sans en être incommodés.

L’enfant ne commence à rire que quarante jours après sa naissance ; c’est aussi le temps auquel il commence à pleurer, car auparavant les cris et les gémissements ne sont point accompagnés de larmes. M. de Buffon conjecture que la douleur que l’enfant ressent dans les premiers temps et qu’il exprime par des gémissements n’est qu’une sensation corporelle, et que les sensations de l’âme ne commencent à se manifester qu’au bout de quarante jours, car le rire et les larmes sont des produits de deux sensations intérieures qui toutes deux dépendent de l’action de l’âme.

M. de Buffon préfère l’usage des peuples qui n’emmaillottent point leurs enfants au nôtre. Le maillot, selon lui, gêne les enfants au point de leur faire ressentir de la douleur, les efforts qu’ils font pour se débarrasser sont plus capables de corrompre l’assemblage de leur corps que les mauvaises situations où ils pourraient se mettre eux-mêmes s’ils étaient en liberté. Les bandages du maillot peuvent être comparés aux corps que l’on fait porter aux filles dans la jeunesse. Cette espèce de cuirasse, ce vêtement incommode qu’on a imaginé pour soutenir la taille et l’empêcher de se déformer, cause cependant plus d’incommodités et de difformités qu’il n’en prévient. D’ailleurs, si le mouvement que les enfants veulent se donner dans le maillot peut leur être funeste, l’inaction dans laquelle cet état les retient peut aussi leur être nuisible. Le défaut d’exercice est capable de retarder l’accroissement des membres et de diminuer les forces du corps : ainsi les enfants qui ont la liberté de mouvoir leurs membres à leur gré doivent être plus forts que ceux qui sont emmaillottés.

Les yeux des enfants qui sont au berceau se portent toujours du côté le plus éclairé de l’endroit qu’ils habitent, et, s’il n’y a qu’un de leurs yeux qui puisse s’y fixer, l’autre n’étant pas exercé n’acquerra pas autant de force. Pour prévenir cet inconvénient, il faut placer le berceau de façon qu’il soit éclairé par les pieds, soit que la lumière vienne d’une fenêtre ou d’un flambeau dans cette position, les deux yeux de l’enfant peuvent la recevoir en même temps et acquérir par l’exercice une force égale ; si l’un des yeux prend plus de force que l’autre, l’enfant deviendra louche, car l’inégalité de force dans les yeux est la cause du regard louche.

Suivant les observations faites à Londres par M. Simpson sur les degrés de la mortalité du genre humain dans les différents âges, il paraît que d’un certain nombre d’enfants nés en même temps, il en meurt plus d’un quart dans la première année, plus d’un tiers en deux ans, et au moins la moitié dans les trois premières années. Si ce calcul est juste, on peut parier, lorsqu’un enfant vient au monde, qu’il ne vivra que trois ans. M. Dupré de Saint-Maur s’est assuré, par un grand nombre d’observations faites en France, qu’il faut sept ou huit années. pour que la moitié des enfants nés en même temps soit éteinte ; on peut donc parier en ce pays qu’un enfant qui vient de naître vivra sept ou huit ans.

La circoncision a passé longtemps pour un acte de religion parmi les peuples de l’Orient ; il est certain qu’elle l’est encore, mais il reste à savoir si elle n’est pas aussi un moyen pour rendre habiles les mâles à la génération. La Boulaye, dans ses voyages, assure qu’il avait vu parmi les Arabes et les peuples de la Mésopotamie des jeunes garçons qui avaient le prépuce si long que, sans la circoncision, ils auraient été inhabiles à la génération.

L’opinion commune est que l’orifice de la matrice des femmes se ferme immédiatement après qu’elles ont conçu. Voici un fait qui prouve le contraire. Une femme de Charleston, dans la Caroline méridionale, accoucha en 1714 de deux jumeaux qui vinrent au monde tout de suite l’un après l’autre. Il se trouva que l’un était un enfant nègre et l’autre un enfant blanc, ce qui surprit beaucoup les assistants. Ce témoignage évident de l’infidélité de cette femme, à l’égard de son mari, la força d’avouer qu’un nègre qui la servait était entré dans sa chambre un jour que son mari venait de la quitter et de la laisser dans son lit. Elle ajouta, pour s’excuser, que ce nègre l’avait menacée de la tuer, et qu’elle avait été contrainte de le satisfaire. Ce fait prouve que la conception de deux ou plusieurs jumeaux ne se fait pas toujours dans le même temps.

On a longtemps examiné pourquoi la vie des premiers hommes était beaucoup plus longue que la nôtre. M. de Buffon répond que les productions de la terre, dont ils faisaient leur nourriture, étaient d’une nature différente de ce qu’elles sont aujourd’hui. La surface de la terre devait être beaucoup moins solide et moins compacte dans les premiers temps après la création qu’elle ne l’est aujourd’hui, parce que la gravité n’agissant que depuis peu de temps, les matières terrestres n’avaient pu acquérir en aussi peu d’années la consistance et la solidité qu’elles ont eues depuis. Les productions de la terre doivent être analogues à cet état, c’est-à-dire plus ductiles, plus souples, plus susceptibles d’extension. Il se pouvait donc que l’accroissement de toutes les productions de la nature et même celui du corps de l’homme ne se fit pas en aussi peu de temps qu’il se fait aujourd’hui ; les os et les muscles conservaient plus longtemps leur mollesse, parce que toutes les nourritures étaient plus molles. Dès lors, toutes les parties du corps n’arrivaient à leur développement entier qu’après un grand nombre d’années. La génération ne pouvait s’opérer, par conséquent, qu’après cet accroissement pris en entier, ou presque en entier, c’est-à-dire à cent vingt ou cent trente ans, et la durée de la vie était proportionnée au temps de l’accroissement comme elle l’est encore aujourd’hui ; car, en supposant que l’âge auquel les premiers hommes commençaient à pouvoir engendrer fût celui de cent trente ans, l’âge auquel on peut engendrer aujourd’hui étant celui de quatorze ans, il se trouvera que le nombre des années de la vie des premiers hommes et de ceux d’aujourd’hui sera dans la même proportion.

Le troisième tome contient la description du cabinet du roi dans ce qui regarde l’anatomie. Tout cela est fort sec et de la main de M. Daubenton.

— Les Comédiens ont donné hier, dimanche, la neuvième et dernière représentation des Amazones, qui sont imprimées. Le public a pensé et dit de cet ouvrage ce que j’ai eu l’honneur de vous en écrire. Voici trois épigrammes qui, sans être trop amères, me paraissent avoir quelque agrément. On n’en nomme pas les auteurs.


J’allais pour applaudir l’aimable du Boccage,
J'allaisLorsqu’Apollon sur mon passage
J'allaisM’a fort prudemment arrêté.
« Ami, m’a dit ce dieu, renferme ton suffrage,
Tu n’es, je le sais bien, courtisan ni flatteur ;
Célèbre si tu veux les beaux yeux de l’auteur.
J'allaisMais ne dis rien de son ouvrage. »

J'allais« Sur cet essai tragi-comique
J'allaisOù Paris en foule a couru,
J'allSavez-vous bien, me dit certain caustique,
J'allaisLe jugement qu’on a rendu ?
J'allaisHier en cothurne tragique
J'allSur l’Hélicon du Bocage a paru :
Des muses aussitôt la troupe l’environne,
Et de la pièce à peine un acte est entendu
Qu’Apollon ennuyé relègue l’Amazone
J'allaisAu fond du Paradis perdu. »

SUR LES TRAGÉDIES DE Mme DU BOCCAGE ET SUR UNE COMÉDIE CHARMANTE QUE Mme DENIS, NIÈCE DE VOLTAIRE, DOIT DONNER CET HIVER.

J'Par des yeux vifs, mille attraits séduisants,
Les belles contre nous avaient de fortes armes ;
J' Les dieux leur laissaient tous les charmes,
Elles veulent encore avoir tous les talents.
J'Au dieu des vers portons-en plainte amère ;
Pourquoi leur donne-t-il de nouveaux agréments ?
Elles avaient déjà trop de moyens de plaire.

  1. La première série de la grand édition, en 44 vol.  in-4°, parut de 1749 à 1767.