Correspondance de Voltaire/1773/Lettre 8734
8734. — À M. MARIN[1].
14 janvier.
Je vous ressouhaite la bonne année, mon cher ami que je n’ai jamais vu, et que probablement je ne verrai jamais, mais que j’aime parce que vous êtes franc et sincère.
S’il y a quelque chose de nouveau sur le cocher Gilbert et sur le… Aubriot[2], je vous prie de m’en régaler.
Je vous demande la grâce de faire passer l’incluse à l’auteur de la Réponse d’Horace, et de m’envoyer un petit paquet que j’attends de lui.
Savez-vous quel est le commis à la phrase qui donne des approbations tacites aux Clémentines[3] ? Vous devriez bien me mettre au fait de ces coglionerie pour m’amuser. J’en entends parler, et je n’ai rien vu.