Correspondance de Voltaire/1766/Lettre 6291

Correspondance : année 1766GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 44 (p. 242).

6291. — À M.  LACOMBE[1].

Puisque vous avez, monsieur, quitté le barreau pour la typographie, je me flatte que cette dernière profession vous sera très avantageuse, si vous imprimez vos ouvrages.

Ma mauvaise santé m’a empêché de lire le Richardet[2] et de vous répondre aussitôt que je l’aurais voulu. Je viens de commencer cette lecture, elle m’amuse beaucoup ; je trouve des vers faciles et bien tournés. Recevez, monsieur, mes remerciements avec ceux que je dois à l’auteur.

J’ai l’honneur d’être, avec une estime bien véritable, monsieur, etc.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François. — Avocat et rédacteur du Mercure, M.  Lacombe se fit imprimeur et libraire à Paris.
  2. Poëme de Fortiguerra, traduit par Dumouriez, père du général.