Correspondance de Voltaire/1766/Lettre 6218

Correspondance : année 1766GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 44 (p. 168).

6218. — À M.  DAMILAVILLE.
6 janvier.

Je prie instamment mon cher frère de faire mettre ces trois vers-ci[1] :


A vu sans s’alarmer qu’on t’adressât des vœux ;
Elle-même avec nous l’eût rendu cet hommage.
Tu l’as trop mérité : c’est toi, c’est ton courage…


à la place des trois qui commencent ainsi :


N’entend point nos regrets, n’exauce point nos vœux, etc.


Je lui aurai une très-grande obligation. Je ne veux me brouiller ni avec sainte Geneviève ni avec ses moines.

  1. De l’Épître à Henri IV.