Correspondance de Voltaire/1765/Lettre 6084
6084. — À M. TRONCHIN, DE LYON[1].
À Ferney, 14 auguste.
J’ai reçu, monsieur, le dernier appoint : ma lettre pourrait servir de quittance générale. Si d’ailleurs il vous en faut une en forme, vous n’avez qu’à prescrire la forme, et vous serez obéi. Je réitère à M. Camp les assurances de l’intérêt tendre que je prendrai à lui toute ma vie. Allez, monsieur, jouir à Paris de tous les agréments qui vous y attendent ; vous êtes bien sûr d’être aimé ailleurs, et vous ne doutez pas du tendre et respectueux attachement de votre, etc.
- ↑ Éditeurs, Bavoux et François.