Correspondance de Voltaire/1763/Lettre 5367
5367. — À M. DAMILAVILLE.
10 auguste.
Mon cher frère, si vous avez du loisir, jetez un coup d’œil sur tout ce que je vous envoie, et daignez le faire dépêcher à son adresse. Je trouve cette façon plus sûre.
Je vois, Dieu soit loué ! que le paquet où était la lettre de change n’a point été perdu. On a eu plus de pitié de nous que je ne croyais.
Si vous pouvez m’envoyer cette lettre de Jean-Jacques[1] qui fait tant de bruit, je vous aurai une extrême obligation.
Je compte que vous recevrez incessamment des mémoires concernant nos vingtièmes.
Buvez à ma santé avec frère Platon, et écr. l’inf…
- ↑ Voyez la note 2, page 536.