Correspondance de Voltaire/1759/Lettre 3902
Correspondance de Voltaire/1759
3902. — À MADAME D’ÉPINAI.
Ma belle inoculable, ma courageuse philosophe, je baise vos mules ; mais pour celle du pape[1], vous ne pourrez l’avoir que demain ou après-demain. Il faut s’en souvenir, la refaire, la transcrire ; je n’ai pas un moment à moi ; mais tous mes moments sont à vous.
- ↑ La Mule du pape. Voyez tome IX.