Correspondance de Voltaire/1740/Lettre 1298
Voici, monsieur, les xxiie et xxiiie chapitres, j’attends les derniers avec impatience. Plus je relis cet ouvrage, plus j’en augure un succès grand et durable, et plus je me félicite de contribuer à le publier. Si vous n’avez point d’Amelot de La Houssaie, ne balancez pas à imprimer l’italien à côté du français. Vous devez avoir commencé déjà. Vous devez trouver à la Haye les armes[1] · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · qui veut bien protéger cet ouvrage, et auquel vous devez faire tenir deux douzaines d’exemplaires. Au reste, je vous manderai à qui il faudra les adresser en droiture ; ce sera, je crois, à son ; · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · et ce ne sera pas un mauvais service que je vous aurai rendu, si vous pouvez, par cette occasion, fournir la bibliothèque de. · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · · ·
- ↑ Sans doute celles du roi de Prusse, qui, selon ce que Voltaire semblait dire alors à Van Duren, encourageait la publication de l’Anti-Machiavel, sans paraître en être l’auteur. (Cl.)