Correspondance de Voltaire/1738/Lettre 960

Correspondance de Voltaire/1738
Correspondance : année 1738GarnierŒuvres complètes de Voltaire, tome 35 (p. 40-41).
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960. — À M. THIERIOT[1].

Voici encore, mon cher ami, un petit mot pour le prince royal sur une chose que vous aviez oubliée. Si vous trouvez que ce que je demande vous convienne et que la manière dont je le demande convienne aussi, envoyez la lettre ; sinon, brûlez-la.

J’ai reçu Dardanus[2] ; donnez à M. de La Bruère ma réponse cachetée, si vous le voulez bien.

Envoie ! une pour l’abbé Le Blanc.

Voici la réplique à l’abbé Trublet. Judica me.

Le Père Mersenne doit me trouver excédant.

Dites vite, et très-vite, si je peux compter sur le S’Gravensande (deux volumes in-4o). C’est mon pain quotidien, je ne peux m’en passer et nous ne pouvons guère nous passer de vous ici. Envoyez-nous ce valet de chambre physicien de Mme Dupin ; l’autre nous a manqué.

  1. Éditeurs, de Cayrol et François.
  2. Opéra de La Bruère, demandé à Thieriot le 11 octobre.