Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1874
1874. À MADAME GEORGES CHARPENTIER.
[Août 1879, entre le 20 et le 28].
Chère Madame,
Nous vous attendons mardi à 11 heures et demie, puisque vous arriverez à Rouen à 11 heures.
À cette heure-là il n’y a point de bateau pour Croisset. Le premier fiacre venu que vous trouverez à la gare vous y mènera.
Est-ce que nous n’aurons pas Madame votre belle-mère et Mlle Georgette ?
Donc, à mardi, et d’ici là, comme toujours, tout à vous.
Votre très dévoué.