Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1852

Louis Conard (Volume 8p. 267).

1852. À X***[1].
[Paris, début de juin 1879.]
(fragment)

C’est fait ! J’ai cédé ! Mon intraitable orgueil avait résisté jusqu’ici. Mais, hélas ! je suis à la veille de crever de faim, ou à peu près. Donc, j’accepte la place en question, 3 000 francs par an, (avec) la promesse de ne me faire servir à quoi que ce soit, car vous comprenez que le séjour forcé de Paris me rendrait plus pauvre encore qu’auparavant. […]


  1. Publié par Du Camp, Souvenirs littéraires, II, 395. Destinataire inconnu.