Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 8-9/1672
1672. À GEORGES CHARPENTIER.
Mercredi matin [Paris, mai 1877].
Mon cher Ami,
Mettez-moi de côté les articles sur les Trois Contes ; j’en fais collection. Puis, quand vous en aurez une jolie provision, envoyez-les moi à Croisset.
Quand vous ferez un nouveau tirage, prévenez-moi. Je vous indiquerai quelques petites corrections. Nous n’en sommes pas là, malheureusement. Cependant on m’a dit hier à la Librairie nouvelle qu’on en revendait un peu, cinq ou six par jour.
Pensez-vous à l’édition de luxe pour Saint Julien, avec polychromie ?
Donnez-moi quelquefois de vos nouvelles, des vôtres et de celles de « toute la petite famille ». Au revoir et tout à vous.