Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 7/1508
1508. À ÉMILE ZOLA.
[Croisset], mercredi, 5 heures [28 octobre 1874].
Votre lettre m’est arrivée ce matin, comme j’allais partir.
Vous ne serez pas joué avant mercredi, sans doute ? Dans ce cas-là, je partirai lundi, et dès le soir j’irai chez vous.
Si vous êtes joué lundi[1], vous me verrez samedi (car je tiens à voir votre répétition générale).
J’attends donc un mot de vous pour me mettre en route.
Donc, à bientôt, mon cher Zola.
Votre.
- ↑ Les Héritiers Rabourdin.