Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 6/1082
1082. À LA PRINCESSE MATHILDE.
Mercredi 2 heures [fin novembre 1869].
Princesse,
Voici ce livre[1] que vous avez daigné entendre lire d’un bout à l’autre.
Je n’ai pu y faire une dédicace convenable ; trop de choses ont remué dans mon cœur en vous l’offrant. N’importe ! Quand vos yeux rencontreront ces deux volumes, vous penserez un peu à un homme qui vous aime bien, Princesse
et qui est
tout à vous.
- ↑ L’Éducation sentimentale.