Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 6/1069
1069. À JULES TROUBAT.
[Croisset]. Samedi matin [septembre-octobre 1869 ?].
Vous êtes bien aimable, cher ami, de m’avoir envoyé des nouvelles du maître. Elles me rassurent tout à fait. Philippe a trouvé le joint.
Néanmoins, je compte sur votre bonne volonté de temps à autre.
Donnez de ma part, à celui que nous aimons, une bonne poignée de main, et croyez-moi tout à vous.
J’ai trouvé ma mère vieillie. Sa santé ne me donne pas d’inquiétude immédiate, mais… ?