Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0890
890. À JULES TROUBAT.
[Croisset, jeudi [janvier 1867].
Merci derechef. Vous me mettez, comme on dit, « du baume dans le sang ».
La solution que vous m’annoncez ce matin m’a été prédite hier par quelqu’un qui s’y connaît. Il serait possible que notre cher maître arrivât à se guérir complètement.
Prêchez-le, pour qu’il ne fasse rien du tout.
Donnez-moi de ses nouvelles, quand vous en aurez le loisir.
Mille poignées de main de votre
G. F.