Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0889

Louis Conard (Volume 5p. 262).

889. À SAINTE-BEUVE.
Croisset, dimanche [début janvier 1867].
Mon cher Maître,

La Princesse m’écrit que vous êtes souffrant depuis longtemps déjà. Qu’avez-vous donc ? Ne faites pas la bêtise de devenir gravement malade. Soignez-vous. Reposez-vous ! et ayez l’obligeance de me donner de vos nouvelles.

Si vous ne pouvez m’écrire, je me recommande à M. Troubat.

En vous la souhaitant « bonne et heureuse » je vous embrasse, cher maître.