Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0775
775. À JULES SANDEAU.
[Paris] Samedi [décembre 1863-début janvier 1864].
J’irai vous dire adieu demain matin. Je pars demain soir ou lundi matin. Ma petite maman me réclame.
Bouilhet a promis les corrections de sa Faustine pour la fin de la semaine prochaine.
Nous sommes l’un et l’autre exténués. Voilà quatre nuits que je ne ferme l’œil. Adieu. À demain. De onze heures à une heure ? Est-ce votre heure ? Ou bien de trois à six, ce qui m’arrangerait mieux.
À vous toujours.