Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 5/0741
741. À SA NIÈCE CAROLINE.
Vendredi, 2 heures [25 septembre 1862].
Ne me demande aucun détail, cher bibi. Je suis accablé de fatigue, quoique extrêmement bien portant. La pièce de Bouilhet fera du bruit, et je serais bien surpris si le feuilleton de lundi n’était, en général, excellent. J’ai trop de choses à vous dire pour vous en dire aucune. J’enverrai demain chez Maisiat.
Embrasse bien ta bonne maman pour moi.
Ton vieil oncle, moins tranquille qu’au puits Lardy[1].
On dit partout que c’est un succès.
- ↑ Une des sources de Vichy.