Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 4/0646

Louis Conard (Volume 4p. 381).

646. À CHARLES BAUDELAIRE.
Croisset, 3 juillet 1860.

Avec bien du plaisir, mon cher ami, je recevrai votre visite. Je compte dessus. Ce serait un grand hasard si vous ne me trouvez pas. Mais, par excès de prudence, prévenez-moi cependant.

Je vous lirai du Novembre[1], si cela peut vous divertir. Quant au Saint Antoine, comme j’y reviendrai dans quelque temps, il faudra que vous attendiez.

Mille cordialités. Tout à vous.


  1. Voir Œuvres de jeunesse inédites, t. II.