Correspondance de Gustave Flaubert/Tome 2/0294
294. À LOUISE COLET.
[Paris.] Samedi, 1 heure du matin.
Bouilhet vient d’arriver à 5 h. ce soir. Nous irons demain chez vous vers 9 ou 10 h. du soir, quelque empêtrés que nous puissions être ailleurs.
Nous devons dîner tous quatre avec Gautier, mais nous nous séparerons de bonne heure et serons chez vous, je l’espère, encore assez à temps pour causer un instant.
À vous.