Corneille, Pierre - Œuvres, Marty-Laveaux, 1862, Lexique (A-H)

Œuvres de P. Corneille, Texte établi par Ch. Marty-LaveauxHachettetome XI (p. 1-488).
LEXIQUE
DE LA
LANGUE DE CORNEILLE.
A

À, préposition.

Ce mot entre dans un grand nombre de gallicismes, qui abondent chez Corneille, et sont d’autant plus importants à recueillir qu’ils ont été, pour la plupart, fort injustement critiqués.

À, où d’ordinaire aujourd’hui nous mettons pour, devant un substantif, un pronom ou un mot employé substantivement :

Réserve ton courroux tout entier au besoin. (i, 281. Clit. 120.)
L’admirable rencontre à mon âme ravie. (i, 314. Clit. 669[1].)
Comme ils avoient choisi même heure à votre mort,
En même heure tous deux auront un même sort. (i, 316. Clit. 727.)
C’est à ceux de notre âge un puissant ennemi. (i, 350. Clit. 1327.)
Cet État de nouveau rangé sous ma puissance,
Ce sceptre par vos mains dans les miennes remis,
À mes vœux innocents sont autant d’ennemis. (iv, 80. Pomp. 1296.)
Quel charme à mon trépas de penser qu’elle m’aime ! (i, 462. Veuve, 224.)
Qu’il vienne, ce rival, apprendre à son malheur
Que s’il me passe en biens, il me cède en valeur. (ii, 188. Suiv. 1179.)
Puisque tu la hais tant, pourquoi la gardes-tu ?
Au bien de nos enfants… (ii, 383. Méd. 869.)
Quelle douce nouvelle à ces jeunes amants ! (iii, 107. Cid, 3 var.)
Et je garde, au milieu de tant d’âpres rigueurs,
Mes larmes aux vaincus, et ma haine aux vainqueurs. (iii, 286. Hor. 94.)

Ce coup est un peu rude à l’esprit le plus fort. (iii, 346. Hor. 1457.)
Ô vous, à ma douleur objet terrible et tendre, (iv, 87. Pomp. 1458.)
… Soyez prêt a demain. (iii, 180. Cid, 1444.)
… L’auteur de vos jours m’a promit à demain
Le bonheur sans pareil de vous donna la main, (iii, 295. Hor. 337.)
On prépare à demain exprès d’autres victimes, (vi, 170. Œd. 833.)
Allons ensemble, allons, sous de si doux auspices,
Préparer à demain de pompeux sacrifices, (vi, 349. Tois. 2235.)
Toute heure étoit trop courte à cette sainte idée, (viii, 103. Imit. (i, 1254.)
Ainsi des plus grands saints la sagesse profonde
Pour ne vivre qu’à Dieu fuyoit les yeux du monde. (iii, 114. Imit. i, 1471.)
… On ne me compte à rien, (viii, 465. Imit. iii, 4208.)
Et tu regarderais comme un grand avantage
Et tu rLe bien de n’être à rien compté. (viii, 494. Imit. iii, 4828.)
Ne compte à rien le monde. (viii, 494. Imit. iii, 5543.)

À, où nous mettons plutôt pour, devant un verbe à l’infinitif :

… Il faut si peu que rien à toucher mon courage. (i, 166. Mél. 414.)
Ma gloire et mon amour peuvent bien peu pour moi,
S’il faut votre présence à soutenir ma foi. (v, 513. Nic. 46.)
11 lui faut un grand crime à tenter son devoir. (v, 567. Nic. 1245.)
Ce qu’il faut de tritons à pousser un navire. (x, 239. Poés. div. 62.)
Ô le honteux motif à changer de maîtresse ! (i, 180. Mél. 632.)
J’invente des raisons à combattre sa haine. (ii, 230. Pl. roy. 117.)
On te vole Doris, et ta feinte colère
Manquerait de prétexte à quereller son frère ! (i, 438. Veuve, 768.)
Si sous votre défe… Que dira l’envie,
Si sous votre défense il ménage sa vie,
Et s’en fait un prétexte à ne paroître pas
Où tous les gens d’honneur cherchent un beau trépas ? (iii, 179. Cid, 1419.)
Le reste est un prétexte à soulager ma peine. (iii, 504. Pol. 370.)
Il a pris un prétexte à sortir promptement. (iv, 336. S. du Ment. 893.)
Peut-être un peu d’orgueil vous a mis dans la tête
Qu’à venger leur mépris ce prétexte est honnête (v, 439. D. San. 494.)
C’est un grand prétexte à troubler une ville. (vi, 144. Œd. 226.)
La vérité n’aura ni le nom ni l’effet
Que d’un adroit mensonge à couvrir ce forfait. (v, 177. Hér. 508.)
Invente à m’éblouir quelques nouveaux détours, (iv, 224. Ment. 1535.)
… Une froideur depuis peu survenue,
De tant de vœux perdus ayant su me lasser,
N’attendoit qu’un prétexte à m’en débarrasser. (i, 178. Mél. 610.)
N’attend que ma p… Toute la chasse prête
N’attend que ma présence à relancer la bête. (i, 306. Clit. 526.)
Cléopatre a lieu d’attendre ce jour-là à faire confidence à Laonice de ses desseins, (iv, 425. Exam. de Rod.)
Je n’ai pas résolu de mourir à ton choix,
Dit-elle, ni d’attendre à rejoindre Flavie,
Que ta rage insolente ordonne de ma vie. (v, 98. Théod. 1831.)

… J’attendois, Seigneur, à vous le déclarer,
Que par vos grands exploits votre rare vaillance
Pût faire à l’univers croire votre naissance. (v, 183. Hér. 626.)
À prendre soin de lui qu… Et pourrez-vous attendre
À prendre soin de lui qu’il soit trop tard d’en prendre ? (vii, 532. Sur. 1698.)
N’attenCette brillante couverture
N’attend que ton vouloir à prendre son éclat, (ix, 273. Ps. pén. 110.)
Cette inclination, qui jusqu’ici vous mène,
À me la déguiser vous donne trop de peine. (i, 278. Clit. 62.)
Achève, malheureuse, achève de vêtir
Ce que ton mauvais sort laisse à te garantir. (i, 306. Clit. 528.)
Recherche maintenant, par un plus juste effet,
Une fausse innocence à cacher ton forfait. (i, 307. Clit. 532.)
… Mon cœur accablé de mille déplaisirs,
Cherche la solitude à cacher ses soupirs. (iii, 288. Hor. 134.)
Je vais chercher du monde à souper avec vous. (iv, 348. S. du Ment. 1144.)
J’irai dessus ses pas aux deux bouts de la terre
Chercher des ennemis à te faire la guerre. (vi, 31. Perth. 259.)
Du moins dis quelque chose à te justifier. (ii, 263. Pl. roy. 760.)
L’amour seul, assez fort pour la persuader,
Ne veut point d’autre tiers à les raccommoder. (ii, 298. Pl. roy. 1461.)
Mon chagrin t’importune, et le trouble où je suis
Veut de la solitude à calmer tant d’ennuis. (iii, 422. Cin. 860.)
Elle veut un grand homme à recevoir ma foi. (vi, 378. Sert. 363.)
Je ne veux ni Moïse à m’enseigner tes voies,
Ni quelque autre prophète à m’expliquer tes lois. (viii, 263. Imit. iii,79.)
Par eux mon bras, armé d’une juste rigueur,
Va trouver des chemins à lui percer le cœur. (ii, 387. Méd. 948.)
… Je me résoudrois à cet excès d’honneur
Pour mieux choisir la place à lui percer le cœur. (vi, 438. Sert. 1784.)
Pour avoir l’accès libre à pousser ma fureur,
Et mieux choisir la place à te percer le cœur. (vi, 62. Perth. 997.)
Cependant cet exil, ces retraites paisibles,
Cet unique souhait d’y terminer leurs jours,
Sont des mots bien choisis à remplir leurs discours. (vii, 45. Agés. 880.)
Ils m’ouvrent une porte à sortir d’esclavage. (vi, 160. Œd. 623.)
À lui rendre service elle m’ouvre une voie
Que tout mon cœur embrasse avec excès de joie. (vi, 393. Sert. 733.)
Daignez faire encor plus, montrez-moi le sentier
DaigneQu’à me rétablir je dois suivre. (ix, 277. Ps. pén. 38.)
Mes vaisseaux à la rade, assez proches du port,
N’ont que trop de soldats à faire un coup d’effort. (ii, 374. Méd. 688.)
Ses attraits tout-puissants ont des avant-coureurs
Encor plus souverains à lui gagner les cœurs. (iv, 374. S. du Ment. 1600.)
Si vous n’avez un charme à vous justifier. (iv, 503. Rod. 1734.)
… N’ayant que moi-même à vous parler pour moi. (vi, 301. Tois. 1070.)
… J’ai d’autres moi-même à servir en ma place. (x, 188. Poés. div. 64.)
… Immolons avec joie
Ceux qu’à me dire adieu Creuse me renvoie. (ii, 406. Méd. 1334.)

Ce Roi qui voit sous lui trembler tant d’autres rois…
Envoie à l’assiéger une effroyable année. (x, 36. Louanges, 527.)
Je ferai mon possible à bien venger mon père. (iii. 158. Cid, 982.)
… J’ai trouvé chez moi cinq cents de mes amis,
Qui sachant mon affront, poussés d’un même zèle,
Se venoient tous offrir à venger ma querelle. (iii, 163. Cid, 1080[2].)
Que désormais le ciel, les enfers et la terre
Unissent leurs fureurs à nous faire la guerre… (iii, 300. Hor. 424.)
… Deux princes unis à soupirer pour vous. (iv, 478. Rod. 1189.)
… Dieu dont on ne doit jamais se défier
Me donne votre exemple à me fortifier. (iii, 520. Pol. 704.)
Ne te lasse d… Un exemple à faillir. (vi, 164. Œd. 690.)
Ne te lasse donc point d’enfanter des merveilles,
De prêter ton exemple à conduire nos veilles. (v, 130. Poés. div. 20.)
Le savoir t’est donné pour guide à moins faillir. (ix, 36. Imit. i, 112.)
À punir les chrétiens son ordre est rigoureux. (iii, 535. Pol. 1023.)
… Comme il suffira de trois à me garder. (iii, 538. Pol. 1096.)
Oh ! le beau compliment à charmer une dame. (iv, 158. Ment. 332.)
Vous seriez un grand maître à faire des romans. (iv, 160. Ment. 356.)
Donnez-lui quelque signe à les pouvoir connoître. (iv, 178. Ment. 698.)
Cette place pour vous est commode à rêver. (iv, 202. Ment. 1148.)
Que l’argent est commode à faire une folie ! (iv, 291. S. du Ment. 47.)
Comme j’ai cru que cette action étoit assez généreuse pour mériter une personne plus illustre à la produire, j’ai fait de cette nourrice une gouvernante. (v, 144. Au lect. d’Hér.)
…Quelque effort qu’on fasse à rompre ces beaux nœuds. (v, 169. Hér. 320.)
Quelque effort que je fasse à lire dans son âme. (v, 227. Hér. 1648.)
… Il n’est pas aux Dieux besoin de plus d’effort
À changer votre cœur qu’à changer votre sort. (v, 369. Andr. 1145.)
Quelque effort qu’ici-bas l’homme fasse à bien vivre. (viii, 110. Imit. i,1388.)
… Son ambition adroite à le séduire. (v, 213. Hér. 1307.)
… Ce riche tombeau que lui fait son vainqueur
N’est qu’un appas superbe à surprendre mon cœur. (vi, 30. Perth. 246.)
À tout dire enfin… (vi, 267. Tois. 259.)
Le patrice Aspar le servit à monter au trône. (vii, 378. Au lect. de Pulch.)
Et ce coup merveilleux serviroit de tonnerre
À jeter l’épouvante au cœur des plus grands rois. (ix, 269. Off. V. 64.)
Qu’ai-je affaire de race à me déshonorer ? (vu, 443. Pulch. 1535.)
Sur quels rois aisément ne pourrai-je emporter,
En faveur de Mandane, un sceptre à la doter ? (vii, 499. Sur. 872.)
Parce qu… Le corps gémit sans cesse,
Parce qAccablé sous les moindres croix,
Parce que de l’esprit la honteuse mollesse
Parce queN’agit qu’avec foiblesse,
Et refuse son aide à soutenir leur poids. (viii, 129. Imit. i, 1766.)
Tu seras son prophète à préparer sa voie. (ix, 161. Off. V. 35.)

Dans les deux sections d’exemples qui précèdent, il en est où à peut être rattaché, comme régime indirect, à un verbe ou à un adjectif. Ainsi : « réserve au besoin ; je garde aux vaincus ; ennemis à mes vœux ; prétexte à quereller ; suffire à garder ; s’offrir a venger. » Nous n’avons pas besoin de faire remarquer que parmi ces tours il en est plusieurs qui sont encore en usage. Voltaire blâme cette locution en quelques endroits de Corneille où il semble s’être mépris sur son véritable sens. Il est assez embarrassant de savoir au juste ce qu’il pense du vers 1734 de Rodogune, cité plus haut (p. 3), car il se contente de dire : « Cela n’est pas français. » Au sujet du premier exemple tiré de la tragédie d’Horace (p. 3), il prononce le même arrêt dans les mêmes termes, mais du moins il développe ensuite sa pensée : « On cherche la solitude pour cacher ses soupirs, et une solitude propre à les cacher. On ne dit point une solitude, une chambre à pleurer… comme on dit une chambre à coucher. » À coup sûr, à cacher n’est pas le complément de solitude comme à coucher est celui de chambre. Le premier exemple de Sertorius (p. 3) amène une note encore plus bizarre : « C’est un barbarisme : on dit bien, il est homme à recevoir sa foi, et encore ce n’est que dans le style familier… ; mais un grand homme à faire quelque chose ne peut se dire… Vouloir à est encore plus vicieux. » C’est toujours la même préoccupation de l’usage du dix-huitième siècle, le même oubli de l’usage ancien, du très-légitime emploi de la préposition à pour marquer un grand nombre des rapports qu’on s’est plus tard habitué à rendre par pour. Cet usage a duré, en devenant peu à peu moins fréquent et disparaissant successivement de certains tours, pendant tout le dix-septième siècle, et nous aurons à en citer plus d’un exemple dans le Lexique de Racine.

À, devant un verbe à l’infinitif, après des mots que nous construisons d’ordinaire avec de.

Plusieurs des exemples qui suivent ont beaucoup d’analogie pour le sens avec ceux qui précèdent.

Il est tant de moyens à fléchir un courage ! (ii, 183. Suiv. 1090 var.)
J’aurai trop de moyens à le faire sentir
Qu’on ne m’offense point sans un prompt repentir. (ii, 202. Suiv. 1479.)
J’aurai trop de moyens à regarder ma foi. (ii, 260. Pl. roy. 691 var.)

Corneille a remplacé à par de dans le premier exemple en 1663, dans le troisième dès 1648.

Il suffit que nous n’inventions pas ce qui de soi n’est point vraisemblable, et qu’étant inventé de longue main, il soit devenu si bien de la connoissance de l’auditeur, qu’il ne s’effarouche point a le voir sur la scène. (i, 74. Disc. de la trag.)
Prendre l’ordre à mourir d’une main ennemie,
C’est mourir, pour un roi, beaucoup plus d’une fois. (ii, 398. Méd. 1175.)
César se dépouillant du pouvoir souverain,
Nous ôtoit tout prétexte à lui percer le sein. (iii, 426. Cin. 952.)
… Ce lâche attentat n’est qu’un trait de l’envie
Qui s’efforce à noircir une si belle vie. (v, 560. Nic. 1104.)
Toute ingrate qu’elle est, je tremble à lui déplaire. (vi, 51. Perth. 744.)

Ce dernier vers est reproduit textuellement dans Tite et Bérénice (vii, 213, vers 332.)

L’habitude à régner et l’horreur d’en déchoir. (vii, 382. Pulch. 15.)

De même après fuir, dans le sens d’éviter :

Ne désire donc point, fuis même à regarder
Tout ce que sans péché tu ne peux posséder. (viii, 405, Imit. iii, 2974.)

À devant un substantif que nous construisons avec de :

À quel droit gardes-tu l’aimable nom de vie ? (viii, 366. Imit. iii, 2179.)

À rendant l’idée de propre à, capable de, suffisant pour :

Ah ! que n’as-tu des yeux à lire dans mon âme ! (ii, 380. Méd. 821.)
Ils viennent de nous joindre avec une puissance
À beaucoup espérer, à craindre beaucoup d’eux. (vii, 45. Agés. 902.)
Lui vend un… Cléon d’Halicarnasse,
Lui venDont l’éloquence a tant d’éclat,
Lui vend une harangue à renverser L’État. (vii, 52. Agés. 1098.)

À exprimant un rapport que nous remplaçons souvent aujourd’hui par celui que marquent les prépositions en, dans, avec ou sans mouvement :

Les deux, tous morts qu’ils sont, qu’on les traîne à la boue. (i, 317. Clit. 749.)
Ô Dieu ! ma force usée à ce besoin me laisse ! (iii, 117. Cid, 230 var.)
Ainsi dans les premières éditions ; en 1660 Corneille a remplacé à par en.
Je suis jeune, il est vrai ; mais aux âmes bien nées
La valeur n’attend point le nombre des années. (iii, 129. Cid, 405.)
Viens, suis-moi, va combattre, et montrer à ton roi
Que ce qu’il perd au Comte il le recouvre en toi. ({iii, 164. Cid, 1100.)
Partout en Italie, aux Gaules, en Espagne,
La fortune le suit, et l’amour l’accompagne. ({iv, 43. Pomp. 393.)
Vous dites vrai, ma sœur, et ces effets sinistres
Me font bien voir ma faute au choix de mes ministres. ({iv, 77. Pomp. 1202.)
Si tu pouvois savoir quel plaisir on a lors
De leur faire rentrer leurs nouvelles au corps… ({iv, 160. Ment. 368.)
… Quand j’eus bien pensé que j’allois à mon âge
Au sortir de Poitiers entrer au mariage. ({iv, 291. S. du Ment. 36.)
C’est à ce dessein que dès le premier acte, je fais connoître la venue de César. ({iv, 22. Exam. de Pomp.)
Mais elle-même vient, helas ! à quel dessein ? ({v, 87. Théod. 1601.)
À quel dessein vient-il parler à moi ? ({v, 180. Héracl. 679.)
Le dernier recours de cette désespérée est à cet illustre inconnu. ({v, 267. Dessein d’Andr.)
C’étoit assez d’espoir que d’espérer au temps ({v, 333. Andr. 425.)
Abandonner mon camp en est un (un crime) capital,
Inexcusable en tous, et plus au général. ({v, 533. Nic. 478.)
S’il ne revivoit pas au prince Nicomède. ({v, 551. Nic. 912.)
Le retire du mal, et l’affermit au bien. ({viii, 602. Imit. iv, 490.)
Passe au ferme propos de corriger ta vie,
D’avancer aux vertus où ma voix te convie. ({viii, 623. Imit. iv, 928.)
Que l’hNe songe à lui rendre service (au Seigneur)
Que l’hymne dans la bouche et l’allégresse au cœur, (ix, 133. Off. V. 4.)
Leurs pas…
… l’auront pour leur guide aux sentiers de la paix, (ix, 161. Off. V. 48.)
Auteur de l’univers…
À toute rencontre, à toute heure,
… jusqu’à toi j’ose élever mes yeux, (ix, 191. Off. V. 3.)
Ronsard, qu’elle (la Libéralité) flattoit à son commencement,

La crut avec son roi couchée au monument. (x, 117. Poés. div. 31.)
Cette ardeur qui des chefs passe aux moindres soldats. (x, 209. Poés. div. 23.)
Rentreront au… Les Faunes assommés
Rentreront au néant dont on les a formés. (x, 236. Poés. div. 20.)
Réjouissons-nous au Seigneur, (ix, 78. Off. V.)
Mon âme a espéré au Seigneur, (ix, 234. Off. V.)
Son cœur se tient toujours prêt d’espérer au Seigneur. (x, 308. Vêpr. D.)

La traduction en vers de ce dernier passage est :

Son cœur est prêt à tout, en Dieu seul il espère, (ix, 309. Vépr. D. 2.5.)

Nous n’avons pas besoin de faire remarquer que cet emploi de la préposition à s’est conservé dans plusieurs des locutions citées. Ainsi à toute heure, recours à, etc.

À suivi d’un verbe à l’infinitif, avec une valeur analogue à celle de en formant avec le participe présent une locution correspondante au gérondif en do des Latins.

Dans plusieurs des exemples qui suivent, à et son infinitif peuvent se remplacer par si suivi d’un verbe à un mode personnel.

Ah ! Mélite, pardon ! je t’offense à nommer
Celle qui m’empêcha si longtemps de t’aimer. (i, 187. Mèl. 741.)
On devient ton complice à te favoriser. (i, 352. Clit. 1363.)
… L’amour paternel qui fait agir leurs bras
Croiroit commettre un crime à n’en commettre pas. (ii, 345. Méd. 88.)
Ma tristesse redouble à la tenir secrète. (iii, 110. Cid, 78.)
… Sa beauté redouble à se faire chercher. (x, 238. Poés. div. 48.)
Et permettez que l’heur qui suivra votre époux
Se puisse redoubler à le tenir de vous. (iv, 469. Rod. 978.)
… Mon mal augmente à le vouloir guérir. (iii, 123. Cid, 327.)
À vaincre sans péril on triomphe sans gloire. (iii, 130. Cid, 434.)
À me défendre mal je les aurois trahis. (iii, 183. Cid, 1488.)
Joignons à la douceur de venger nos parents
La gloire qu’on remporte à punir les tyrans. (iii, 389. Cin. 108.)
Je deviendrois suspect à tarder davantage. (iii, 398. Cin. 317.)
À raconter ses maux souvent on les soulage. (iii, 494. Pol. 161.)
… Son honneur se perd à le trop conserver. (iv, 164. Ment. 440.)
Je t’apprendrai bientôt… Sache qu’à te suivre
Je t’apprendrai bientôt d’autres façons de vivre, (iv, 160. Ment. 373.)
De peur qu… Je tremble encore à te le dire, (iv, 317, S. du Ment. 523.)
De peur qu’en un moment l’amour ne s’estropie
À voir l’original si loin de la copie, (iv, 329. S. du Ment. 772.)
Nous ne À nous voir l’un de l’autre rivaux,
Nous ne concevions pas la moitié de nos maux, (iv, 458. Rod. 693.)
À l’aimer tant soit peu vous l’auriez deviné. (iv, 458. S.du Ment. 737.)
J’entreprendrois sur elle à l’accepter de vous, (iv, 467. Rod. 941.)
J’en ferois autant qu’elle à vous connoître moins, (iv, 499. Rod. 1634.)
Cette indigne fierté ne seroit pas punie,
À ne vous ôter rien de plus cher que la vie. (v, 50. Théod. 7Z6.)
… Les illustres noms d’infâme et de rebelle

Vous semblent précieux à les porter pour elle. (v, 59. Théod. 964.)
J’ai été assez heureux à les inventer et à leur donner place dans la tissure de ce poëme. (v, 297. Argum. d’Andr.)
Consulte Garibalde, il tremble à voir son maître. (vi, 66. Perth. 1071.)
… Tu ferois un crime à lui dissimuler
Que ce qu’il fait pour toi te condamne à parler. (vi, 122. Vers à Foucquet, 23.)
… Je hasarde tout à quitter les Thébains. (vi, 145. Œd. 263.)
Je croirois faire un crime à vous le déguiser. (vi, 277. Tois. 543.)
Tu perds de ton grand art la force ou l’imposture,
À t’armer contre moi de toute la nature. (vi, 312. Tois. 1345.)
Il seroit moins coupable à m’avoir moins aimée. (vi, 438. Sert. 1778.)
Lui-même il s’en console et trompe sa douleur
À croire que la main n’a point donné le cœur. (vi, 476. Soph. 74.)
Jugez par là l’excès de ma confusion
À me voir attachée au char de Scipion. (vi, 497. Soph. 602.)
Après tant de bontés et de marques d’estime,
À vous moins déférer je croirois faire un crime. (vii, 84. Agés. 1817.)
Si l’amitié vous plaît, si vous aimez l’estime,
À vous les refuser je croirois faire un crime. (vii, 483. Sur. 498.)
Que le cœur s’affr… Ce n’est qu’à la suivre
Que le cœur s’affranchit de tout aveuglement. (viii, 30. Imit. i, 9.)
À trop l’approfondir, il (le sens de la parole de Dieu) égare, il abîme
À troL’esprit du curieux. (viii, 52. Imit. i, 384.)
Qu’elle amasse de force à l’entendre parler ! (viii, 259. Imit. iii, 7.)

Voltaire, comme on peut le voir dans ses remarques sur les vers 941, 978 et 1634 de Rodogune, a blâmé certaines applications de ce tour, qui, après quelques verbes, est demeuré fréquent dans la langue. Il a dit lui-même dans Œdipe (acte II, scène  iv) :

La vertu s’avilit à se justifier.

À signifiant vers, envers, relativement à, quant à.

C’est, dans plusieurs des exemples que nous citons, un emploi analogue à celui d’à équivalent à pour. Voyez ci-dessus, p. 1 et 2.

… PreÀ toi seul j’élève mes yeux. (viii, 577. Imit. iii, 6549.)
… Prenant à l’empire un chemin éclatant. (v, 207. Hér. 1181.)
Ne soyez plus de glace à qui brûle pour vous. (i, 153. Mèl. 196.)
Florame vaut lui seul à ma pudique flamme
Tout ce que peut le monde offrir à mes ardeurs. (ii, 192. Suiv. 1274.)
… Je te connois mieux, tu veux que je te prie,
Et qu’ainsi mon pouvoir t’excuse à ta patrie. (iii, 305. Hor, 544.)
Ces titres aux chrétiens sont-ce des impostures ? (iii, 525. Pol. 786.)
Cet Être universel, à qui rien ne périt. (viii, 173. Imit. i, 2661.)
Plus un homme à lui-même étudie à mourir,
Plus il commence à vivre à l’auteur de son être. (viii, 256. Imit. ii, 1663.)
Heureusement déçus au sens de votre oracle. (vii, 355. Psy. 1730.)

À marquant la durée, comme dans la locution à jamais.

C’est encore un rapport souvent rendu par pour.

C’est pour bénir ton nom : souffre qu’avec tes anges

À toute éternité nous puissions le bénir. (ix, 129. Off. V. 36.)
Adorons tous son nom : sa douceur adorée
AdoronFait revivre à l’éternité. (ix, 135. Off. V. 18.)
Toutes deux (la grâce et la vérité) sont pour vous d’une égale étendue,
Toutes Et durent à l’éternité. (ix, 173. Off. V. 8.)
À toute étIl veut que sa justice
À toute éternité se fasse respecter. (ix, 305. Vêpr. D. 32.)

À exprimant le même rapport que selon, suivant, d’après :

… Si l’on pouvoit croire un père à sa parole, (iv, 162. Ment. 394.)
À sa lettre il paroît qu’il a beaucoup d’esprit. (iv, 312. S. du Ment. 401.)
Tout se prépare mal à cet échantillon. (iv, 362. S. du Ment. 1404.)
Ainsi chacun des deux connoît l’autre au visage. (vi, 190. Œd. 1313.)
Se fait à tout son camp reconnoître à la voix. (x, 210. Poés, div. 243.)
Il leur montre à doubler leurs files et leurs rangs,
À changer tôt de face aux ordres différents. (x, 199. Poés. div. 72.)
Par votre ordre on la quitte, et cet ami fidèle
Me pourroit au même ordre abandonner comme elle. (vi, 546. Soph. 1740.)
Vous ne serez pas fâché que je vous fasse voir à mon ordinaire les originaux dont j’ai tiré cet événement. (vi, 6. Au lect. de Perth.)

La Fontaine a dit de même dans Psyché (livre II) : « La voilà tentée à son ordinaire. » On se sert aujourd’hui de comme à mon ordinaire, comme à son ordinaire, locutions languissantes qui n’expriment rin de plus.

Dans plusieurs de ces exemples, le rapport qu’exprime à pourrait aussi se remplacer par celui que marque par. Voyez ci-après, p. 10 et 11.

À, où nous mettons sur :

Il falloit qu’il lui vit sa couronne à la tête’ (vi, 492. Soph. 495.)

À équivalent à devant, sous :

Que l’on ne traite point… Il vaut mieux
Que l’on ne traite point cette affaire à tes yeux. (i, 450. Veuve, 1014.)
Tu peux pleurer, Valère, et même aux yeux d’Horace. (iii, 354. Hor. 1675.)

C’est un emploi d’à qui est demeuré très-usité. Voyez le Lexique de Racine.

À marquant à peu près le même rapport qu’avec :

Me payer à bons coups… (i, 229. Mél. 1442.)
De notre sang au leur font d’horribles mélanges. (iii, 173. Cid, 1298.)
Pourvu qu’à moins de sang nous voulions l’apaiser. (iii, 294. Hor. 305.)
Il les en voit sortir, mais à coiffe abattue. (iv, 183. Ment. 785.)
D’une collation superbe et magnifique,
Servie à tant de plats. (iv, 187. Ment. 887.)
N’est-ce point que le ciel ne consent qu’avec peine
Cette triste union d’un sujet à sa reine ? (v, 460. D. San. 1010.)
Vous marcherez vers Rome à communes enseignes. (vi, 377. Sert. 345.)
Choisissez donc ensemble, à communs sentiments,
Des charges dans ma cour, ou des gouvernements. (vi, 619. Oth. 1015.)
Charleroi, qui t’attend, mais à portes ouvertes,
À forts démantelés, à travaux démolis,

Sur le nom de son roi laisse arborer tes lis. (x, 204. Poés. div. 146.)
Peuple, à vœux redoublés, soubaitez-lui la paix. (ix, 185, Off. V. 22.)

À prend la même signification dans à main forte :

C’est Doraste qui sort et nous suit à main forte. (ii, 281. Pl. roy. 1114.)
Le duc, ayant appris quelles intelligences
Déroboient un tel fourbe à vos justes vengeances,
L’attendoit à main forte… (vi, 95. Perth. 1745.)

Ici encore, dans quelques exemples, le sens flotte entre ceux de par et d’avec. Voyez la section suivante.

À ayant une valeur analogue à celle de par.

Mathurin Cordier, dans son traité De corrupti sermonis emendatione (chapitre iii, p. 35, § 11), conseille avec raison aux écoliers de traduire cette phrase : « Il ne se veut pas laisser battre a son régent, » par la suivante : A præceptore non sinit se verberari. Suit-il nécessairement de là que notre préposition à, dans cette acception, vienne, comme on le suppose communément, du latin a ou ab ? C’est une question que nous n’avons point à examiner ici.

Qui se laisse affiner … Une folle jeunesse,
Qui se laisse affiner à ces traits de souplesse. (i, 190. Mél. 792.)
Lysarque et vos archers, depuis ce lieu funeste,
Se laissèrent conduire aux traces de mon sang. (i, 315. Clit. 691.)
Notre plume à lui seul doit se laisser conduire. (ii, 27. Gal. du Pal. 154.)
Laisse-toi vaincre enfin à de si fortes armes. (ii, 276. Pl. roy. 1014.)
Ne se laissoit gui… Mon peu de jugement
Ne se laissoit guider qu’à mon ressentiment. (ii, 282. Pl. roy. 1136.)
Mon cœur, qui se partage en deux affections,
Se laisse déchirer à mille passions. (ii, 348. Méd. 164.)
À tes moindres coups d’œil je me laisse charmer. (ii, 475. Illus. 799.)
Je me laisse charmer à ce discours flatteur. (ii, 514. Illus. 1491.)
Hélas ! à quel espoir me laissé-je emporter ! (iii, 177. Cid, 1375.)
… Se laissant ravir à l’amour maternelle. (iii, 285. Hor. 59.)
… Ceux que vos rigueurs ne font qu’effaroucher,
Peut-être à vos bontés se laisseront toucher. (iii, 438. Cin. 1216.)
Les uns se laissent si bien persuader à cet enchaînement… (iii, 474. Abrégé du martyre de saint Polyeucte.)
Il soupçonne aussitôt son manquement de foi,
Et se laisse surprendre à quelque peu d’effroi’ (iv, 46. Pomp, 464.)
Je … me suis laissé conduire au fameux Lope de Vega. (iv, 131. Épître du Ment.)
Si mon âme à mes sens étoit abandonnée,
Et se laissoit conduire à ces impressions. (v, 35. Théod. 393.)
Impatient déjà de se laisser séduire
Au premier imposteur armé pour me détruire. (v, 158. Hér. 30.)
… Avant qu’à ce conte il se laisse emporter. (v, 159. Hér. 51.)
Maurice, à quelque espoir se laissant lors flatter. (v, 183. Hér. 641.)
Cet organe des Dieux put se laisser gagner
À ceux que ma naissance éloignoit de régner. (v1, 184. Œd. 1176.)
Parle, et laisse-toi vaincre aux tendresses de mère. (vii, 365. Psy. 1996.)
… Laissez-vous conduire à qui sait mieux que vous

Les chemins de vous faire un sort illustre et doux, (vii, 451. Pulch. 1723.)
David, pour avoir trop regardé Bersabée, se laisse vaincre à la tentation. (viii, 54, note 1. Imit. 1.)
Qu’importe à quels périls il gagne une maîtresse ? (ii, 185. Suiv. 1126.)

Dans ce sens, la préposition à, comme le montrent tous les exemples qui précèdent, sauf le dernier, s’emploie principalement avec des infinitifs actifs précédés de laisser.

Croirait-on que Voltaire blâme encore cette tournure ? À l’occasion du premier exemple d’Héraclius cité ci-dessus, il s’exprime ainsi : « Se laisser séduire à quelqu’un n’est plus d’usage, et au fond c’est une faute : je me suis laissé aimer, persuader, avertir par vous, et non pas aimer, persuader, avertir à vous. » À l’occasion de ce passage d’Horace :

Sa joie éclatera dans l’heur de ses enfants ;
Et se laissant ravir à l’amour maternelle,
Ses vœux seront pour toi, si tu n’es plus contre elle,


que nous avons rappelé plus haut, il tombe dans une méprise encore plus singulière : « Cette phrase est équivoque, dit-il, et n’est pas française. Le mot de ravi, quand il signifie joie, ne prend point un datif : on n’est point ravi à quelque chose ; c’est un solécisme de phrase. » Ravir est employé ici dans toute la force de son sens primitif : il signifie emporter, entraîner ; mais le premier vers a fait illusion à Voltaire. Il a cru que Corneille, dans ce passage, avait donné à ce mot le sens de charmé, enchanté, qu’il a souvent dans le langage familier. Une erreur non moins étrange est celle de M. Aimé-Martin, qui remarque fort bien que « Voltaire se trompe, » puis croit devoir ajouter : « Ce datif n’est pas gouverné par ravir, mais par se laissant. »

À après trahir :

J’ai trahi la justice à l’amour paternel. (iii, 528. Pol. 899.)

C’est un latinisme : trahir est construit à la manière du latin prodere. Nous retrouvons cette construction dans une variante des Poésies diverses (x, 148, note 2) :

Croire qu’à mes rivaux vous allez me trahir.

Dans le texte adopté, cette variante est remplacée par ce vers :

Qu’en faveur d’un rival vous allez me trahir.

À après changer :

Le More…

Changea l’ardeur de vaincre à la peur de mourir. (iii, 174. Cid, var. 1.)
… Mes désirs brûlants de perdre tout le monde
Se changent aussitôt à ceux de l’augmenter. (x, 60. Poés. div. 4.)

La Fontaine a employé cette même tournure :

Cependant l’humble toit devient temple, et ses murs

Changent leur frêle enduit aux marbres les plus durs. (Philémon et Baucis.)

Racine s’en est servi également : voyez le Lexique de cet auteur.

Á dans quelques emplois divers, soit encore usités, soit passés d’usage :

En ce moment à crLa Nymphe à cent voix. (x, 289. Poés. div. 60.)
En ce moment à craindre il remplit nos souhaits. (x, iii. Poés. div. 68.

Dans cette manière de parler, à et l’infinitif jouent le rôle du participe latin en dus, da, dum.

Ce n’est que la moitié du troisième livre ; je l’ai trouvé assez long pour en faire à deux fois, (viii, 27. Au lect. de l’Imit.)

… Je vais vous faire à ce soir telle niche,
Qu’au lieu de labourer, vous lairrez tout en friche. (i, 250. Mél. 1819 var.)

Ces deux vers terminent Mélite dans les trois premières éditions seulement (1637-1648) ; dans les suivantes la fin de la pièce est entièrement modifiée.

Montrer votre courage, oIl vous faut à ce soir
Montrer votre courage, ou moi mon désespoir. (ii, 265. Pl. roy. 807 var.

En 1660, Corneille a ainsi remplacé ce passage :

Rompre les noi… Vous saurez dès ce soir
Rompre les noirs effets d’un juste désespoir.

J’ai tâché de remédier à ces désordres au moins mal que j’ai pu. (vi. 127. Au lect. d’Œd.)
Allez donc ; ce qu’ici vous perdez de moments
Sont autant de larcins à vos contentements. (iv, 485. Rod. 1374.)
Ce soin toujours actif pour les nobles projets,
Toujours infatigable au bien de tes sujets. (x, 180. Poés. div. 84.)
… L’éclat s’en termine à de nouveaux bienfaits. (v, 20. Théod. 79.)
Toutes estimeront à faveur singulière
Toutes Le droit d’entrer en son palais. (ix, 101. Off. V. 67.)

On lit dans la Ire édition de la Place royale, vers 759 :

Sur notre amour passé c’est à trop te fier (ii, 263) ;


mais ne serait-ce pas une faute d’impression ? L’édition suivante (1644) porte : « c’est là trop te fier. » En 1660 Corneille a mis : « c’est trop te confier. »

Dans cette dernière section, d’emplois divers, nous n’avons voulu qu’indiquer par un très-petit nombre d’exemples ce qu’il resterait à faire pour compléter l’article de la préposition à. Elle sert, très fréquemment, comme nous le voyons dans ces exemples et dans beaucoup de ceux des sections précédentes, d’une part, à former des locutions détachées adverbiales, d’autre part à joindre plus ou moins étroitement des régimes indirects aux mots qui les gouvernent. Nous ne pouvons songer à épuiser ici ces emplois : nous renvoyons, pour les locutions détachées, au mot principal de ces locutions ; pour les régimes, au nom, adjectif, verbe ou adverbe régissant.

À exprimé devant un premier régime et omis devant les suivants :

Je crois au Saint-Esprit, la sainte Église catholique. (ix, 75. Off. V.)
… La Déesse aux cent voix et cent yeux. (xe siècle, 195. Poés. div. 23.)
Et moi je suis ravie, après ce peu d’alarme,
Qu’ainsi tes sens trompés te puissent obliger
À chérir ta Cloris, et jamais ne changer. (i, 157. Mél. 268.)
Réduit à te déplaire ou souffrir un affront. (iii, 155. Cid, 883.)

ABAISSEMENT.

… Je ne sais quoi d’abaissement secret
Où quiconque a du cœur ne consent qu’à regret. (x, 95. Poés. div’. 19.)

Abaissement des cœurs, pour soumission, humiliation, humilité :

… Jamais leur courroux ne montre de rigueurs
Que n’abatte aussitôt l’abaissement des cœurs. (v, 379. Andr. 1406.)

Abaissement à :

Ce lâche abaissement aux douceurs temporelles. (viii, 345. Imit. iii, 1749.)

Abaissement vers :

Le trop d’abaissement vers les objets sensibles. (viii, 425. Imit. iii, 3889.)

Abaissements, au pluriel, disgrâces, humiliations :

… La mort, ou l’exil, ou les abaissements
Seront pour vous et moi ses vrais remercîments. (vi, 603. Oth. 663.)

ABAISSER.

Abaisser, au propre :

Elles abaissent toutes deux leurs coiffes. (iv, 345. S. du Ment.)

Les premières éditions portent rabaissent. Voltaire a mis le simple, baissent, plus usité de son temps.

Nous renonçons sans honte à ce choix glorieux
Qui d’une grande reine abaissoit trop les yeux. (v, 465. D. San. 1116.)

C’est-à-dire la forçait à les jeter trop au-dessous d’elle.

Abaisser, au figuré, diminuer, calmer, apaiser :

De moment en moment son âme plus humaine
Abaisse sa colère et rabat de sa haine. (ii, 376. Méd. 726.)
… N’attends pas que j’abaisse ma haine. (îv, 69. Pomp. 1021.)

Ce mot s’employait souvent ainsi dans l’ancien français. Voyez Sainte-Palaye et Roquefort.

S’abaisser à, suivi d’un infinitif :

Nous ne demandons point qu’un courage si fort
S’abaisse à notre exemple à se plaindre du sort. (iii, 323. Hor. 946.)

ABANDON.

À l’abandon.

Il vient mettre à vos pieds sa tête à l’abandon. (i, 245. Mél. 1717.)
L’épargne de mon père entièrement ouverte,
Lui met à l’abandon tous les trésors du Roi. (ii, 369. Méd. 591.)
Mais je m’étonne fort de voir à l’abandon
Du prince Héraclius les droits avec le nom. (v, 188. Hér. 761.)
… Ces vieux monuments qu’on laissée à l’abandon. (x, 59. Poés. div. 14.)

ABANDONNER à, livrer à :

J’abandonnai mon âme à des ravissements. (iii, 291. Hor. 201.)

Abandonner à, laisser à :

J’ai abandonné en ces rencontres le choix des caractères à l’imprimeur. (i, 8. Au lect.)

Abandonner, permettre de disposer du sort de :

L’auteur de l’attent… Apprends de leurs indices
L’auteur de l’attentat, et l’ordre, et les complices :
Je te les abandonne. (iv, 83. Pomp. 1363.)

Abandonner, accorder, ajouter trop facilement et sans examen :

De n’ouvrir tout s… Qu’il est bon de se taire,
De n’ouvrir tout son cœur à personne qu’à toi,
Et n’abandonner pas aux rapports qu’on vient faire
Et n’abanUne indiscrète foi ! (viii, 483. Imit. iii, 1587.)

C’est-à-dire ne pas ajouter foi sans discernement aux rapports qu’on vient faire.

S’abandonner à :

La nature en fureur s’abandonne à tout faire. (vii, 258. Tit. 1383.)

Abandonné de, suivi d’un nom abstrait :

… Abandonné pleinement
Des consolations humaines. (viii, 346. Imit. iii, 1795.)

ABATTEMENT, état d’une personne abattue :

… Cet abattement que lui cause la peste
Ne souffre à son murmure aucun dessein funeste. (vi, 203. Œd. 1645.)

Abattements, au pluriel, dans le même sens :

La maladie est impuissante :
Ses abattements, ses douleurs
Rendent fort peu d’hommes meilleurs. (viii, 145. Imit. i, 2090.)

ABATTRE.

Abattre quelqu’un, au figuré, le renverser, lui faire perdre la position qu’il avait :

Vous me soutenez, quand on se persuade qu’on m’a abattu. (x, 498. Lett.)

Tel est le texte des éditions originales ; les impressions modernes portent à tort : « qu’on m’a battu. »

Ce verbe entre dans un grand nombre de locutions énergiques, dont Corneille a fait dans ses tragédies un excellent usage :

Il a de votre sceptre abattu le soutien. (iii, 142. Cid, 651.)
… Du premier revers la fortune l’abat. (iii, 444 Cin. 1344.)
Abattons sa superbe avec sa liberté. (iv, 34. Pomp. 195.)
… Tu ne prétends pas qu’il (le destin) m’abatte le cœur
Jusqu’à te rendre hommage et te nommer seigneur. (iv, 68. Pomp. 987.)
Pour la faire tomber j’abattrai son appui. (iv, 492. Rod. 1518.)
… J’abattrai d’un coup sa tête et ton orgueil. (v, 199. Hér. 1002.)
Vos fers, en leur faveur plus forts que leurs cohortes,
Ont abattu les cœurs, ont fait ouvrir les portes. vi, 516. Soph. 1086.)

S’abattre :

Tu m’imputes la crainte et ton cœur s’en abat. (ii, 99. Gal. du Pal. 1524.)
Si dessous sa valeur ce grand guerrier s’abat. (iii, 136. Cid, 532.)

Abattu, au propre :

Ma tête abattue ébranleroit la vôtre. (vi, 423. Sert. 1422.)

Abattu, au figuré :

On te croiroit toujours abattu sans effort. (iii, 130. Cid, 435.)
… D’où te vient ce visage abattu ? (vi, 433. Sert. 1663.)

Abattu, joint aux mots cœur, âme, esprit, etc. :

Un homme dont les biens font toutes les vertus
Ne peut être estimé que des cœurs abattus. (i, 211. Mél. 1138.)
Ne peut être es… Mon âme abattue
Et je pourCède un coup qui me tue. (iii, 121. Cid, 295.)
Et je pourrois avoir l’âme assez abattue. (v, 164. Hér. 189.)
N’a qu’Mon âme traînante, abattue,
N’a qu’un moment à vivre… (v, 354. Andr. 811.)
Pison a l’âme simple et l’esprit abattu. (vi, 602. Oth. 635.)
Rend sous mes déplai… La main qui me tue
Rend sous mes déplaisirs ma constance abattue. (iii, 437. Cin. 1194.)

ABÎME.

Abîme d’ennuis.

Pour moi, qui ne vois rien, dans le trouble où je suis,
Qu’un gouffre de malheurs, qu’un abîme d’ennuis. (iv, 505. Rod. 1802.)

Abîmes de biens :

… Lui-même admirant ces abîmes de biens, Il verra tout son cœur dilaté d’allégresse. (viii, 672. Imit. iv, 1915.)

Abîmes, absolument, les saintes profondeurs de la sagesse :

Toi qui jusqu’à nos rois portas la vérité,
Qui n’eus dans leurs conseils que de justes maximes,
Et fis, par un conseil rentré dans les abîmes,
Dans les raisons d’État régner la sainteté. (x, 123, Poés. div. 7.)

ABÎMER, précipiter dans un abîme, au propre et au figuré :

Lui qui n’est qu’un homme du commun, doit tenir la bride à de telles passions, de peur qu’elles ne l’abîment dans un pareil malheur. (i, 54. Disc. de la trag.)
L’ont abîmé… Tout exprès les Dieux
L’ont abîmé vivant en ces funestes lieux. (i, 232. Mél. 1502.)
Chimène fait la même chose à son tour, sans laisser ébranler son dessein par la douleur où elle se voit abîmée par là. (iii, 92. Exam. du Cid.)

Tu n’as frappé mes yeux d’un moment de clarté
Que pour les abîmer dans plus d’obscurité. iii, 314. Hor. 746.)
L’inceste où, malgré vous, tous deux je vous abîme
Recevra de ma main sa première victime. (vi, 215. Œd’. 1917.)
Tandis qu’en l’esclavage un autre hymen l’abîme. (vi, 376. Sert. 306.)
Souffrez que je vous parle, et vous puisse exprimer
Quelque part des malheurs où l’on peut m’abîmer. (vi, 534. Sophon. 1488.)
… L’autre par Néron dans le vice abîmé
Ramènera ce luxe où sa main l’a formé. (vi, 616. Oth. 947.)

S’abîmer :

Absyrte donne la main à Hypsipyle, pour sortir de cette conque qui s’abîme aussitôt dans le fleuve. (vi, 237. Desseins de la Tois.)
… Dans les doux torrents d’une allégresse entière
Tu verras s’abîmer tes maux les plus amers. (vi, 259. Tois. 114.)
Cette agréable idée, où ma raison s’abîme. (x, 163. Poés. div. 5.)
En cet heureux état avec pleine tendresse
Il saura s’abîmer dans mes doux entretiens. (viii, 671. Imit. iv, 1914.)

Voltaire fait au sujet de l’exemple de Sertorius une remarque, qui, si elle était fondée, s’appliquerait à plusieurs autres. « Le mot d’abîme, dit-il, ne convient point à l’esclavage. Pourquoi dit-on abîmé dans la douleur, dans la tristesse, etc. ? C’est qu’on y peut ajouter l’épithète de profonde ; mais un esclavage n’est point profond ; on ne saurait y être abîmé. » À ce compte, s’abîmer dans mes doux entretiens, abîmer dans l’inceste, abîmé dans le vice, seraient également des expressions répréhensibles. Il n’est pas nécessaire que le complément d’abîmer puisse recevoir l’épithète de profond, mais seulement qu’il ne présente pas une idée contraire à celle de profondeur ; abîmer convient partout où l’on se sert de plonger ; il est seulement plus énergique.

On employait jadis ce mot neutralement. Garnier a dit :

Si lorsqu’Antoine, orné de grandeur et de gloire,
Menoit ses legions dedans l’Euphrate boire,
Suiuv de tant de rois que son nom redouté
S’esleuoit triomphant jusques au ciel voûté,
Qu’il alloit disposant, maistre à sa fantasie,
Et du bien de la Grece et du bien de l’Asie,
Et qu’en un tel bonheur je l’eusse esté changer
Pour Cesar, on eust dit mon cœur estre leger,
Infidelle, inconstant ; mais ore que l’orage,
Et les vents tempestueux luy donnent au visage,
Ja, ja, prest d’abismer, helas ! que diroit-on ? (Antoine, ii, 291.)

ABJECT, ABJET.

Qui m’a fait soupirer pou… Ce désir abjet
Qui m’a fait soupirer pour un indigne objet. (i, 169. Mêl. 456.)
Ma bouillante fureur ne cherche qu’un objet ;
Va, tu l’attirerois sur un sang trop abjet. (ii, 81. Gal. du Pal. 1188.)
… Dans les plus bas rangs les noms les plus abjets
Ont voulu s’ennoblir par de si hauts projets. (iii, 438. Cin. 1207.)
… Ne dédaigner pas l’illustre et rare objet
D’une haute valeur qui part d’un sang abjet. (v, 488. D. San. 1680.)
… Ne prendra jamais un cœur assez abjet
Pour se laisser réduire à l’hymen d’un sujet. (v, 514- Nic. 65.)
Dis tout, Araspe : dis que le nom de sujet

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  1. Voyez la note 1 de la page indiquée.
  2. Voyez la variante 4 de la page indiquée.