Catégorie:Poèmes de 1922
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Pages dans la catégorie « Poèmes de 1922 »
Cette catégorie comprend 158 pages, dont les 158 ci-dessous.
A
- À cheval sur mon bouc barbu
- À quoi bon prendre un air tragique si tout n’est
- À quoi bon te chercher, gloire, vieille étiquette
- L’acacia blanc sur la berge
- Ah ! jeter les filets crevés, les hameçons
- D’allégresse vibrant de la nuque au talon
- Allez et que l’amour vous serve de cornac
- Amour, mon amour le plus cher
- Au bord de la prairie humide où tu gazouilles
- Au Jazz-Band des Chars d’Assaut
- Aux soirs mornes, devant la table d’un café
B
C
- C’est février, le mois des chattes et du givre
- C’est le feuillage noir des platanes que perce
- C’étaient les maquignons sous le jaune feuillage
- Carco, passez-moi la gourde
- Casino de Paris, Olympia, Folies
- Ce mouchoir sent l’éther comme ta chevelure
- Ce sera la maison blanche avec un arbuste
- Ce soir d’octobre est lourd comme ta lourde chevelure
- Ce soir de septembre où je suis
- Celui qui partira loin de la ville, qu’il le
- Cette grande chambre et ce lit défait
- La chaleur tout le jour a rougi le vignoble
- Chambre d’hôtel morose et vide. Un œillet penche
- Chambre d’hôtel où flotte une odeur de benzine
- Chasseur morose, las durant la nuit sereine
- Comme j’allais, couvert de la poussière du voyage
- Comme les marronniers d’Inde et la grange, qu’on
D
- Dans l’odeur des œillets, du fenouil et du buis
- Dans la froideur de l’aube hivernale, il bruine
- Dans le calme, la barque se balance
- Débouchons l’encrier et, du titre à la table
- Le décor somptueux et lourd d’étoffe rouge
- Délaissons, s’il te plaît, Baruch de Spinoza
- Dénouons les rubans mauves que tu voulus
- La double passion de l’amour et des livres
- Droite, dans la candeur des voiles, à l’orée
E
- Elle disait : Le bonheur vient on ne sait d’où
- En l’honneur de ton nom je veux sonner du luth
- En vain tu mets tes doigts sur mes yeux inquiets
- L’enthousiasme, comme un peuple de frelons
- Entre la vie et moi tirant un voile épais
- Épître béarnaise
- L’espérance apparut et tu lui ressemblais
- Et naguère aux midis de résine imprégnés
- Et tu disais : Vous tous qui souffrez d’insomnie
J
- J’ai laissé de mon cœur tout le long du chemin
- J’ai mis des fleurs autour de ma flûte mélancolique
- J’avais toujours rêvé d’éternelles amours
- J’exprimais autrefois d’une façon morose
- Le jardin bourdonnait de soleil et d’essors
- Jardin mouillé, chantons encore ce poème
- Je crayonne ton nom sur la peau d’un tambour
- Je dirai pour l’instruction des biographes
- Je ne veux point gémir ni perdre la pensée
- Je revis doucement d’anciennes pensées
- Je souffle dans ma pauvre flûte
- Je vais songer à la jeune fille que j’ai
- Je veux bourrer ma pipe et fumer en silence
- Jean Pellerin, j’ai revêtu la houppelande
- Les jours sont plats comme des soles
L
M
- Ma fortune a tourné comme l’ombre d’un arbre
- Maintenant que la neige a blanchi la maison
- Maintenant que tes yeux sont clos et que ta voix
- La maison où je l’ai connue
- Maisons rouges, pavés brûlés, feuillages bleus
- Mes trompettes adolescentes
- Des mois ont fui ; mais ma pensée
- Mon désespoir vers toi grave et silencieux
- Mon Dieu, madame, il faut nous consoler
- Mon espérance était tombée
N
O
P
- Par les matins d’hiver quand je lisais tes lettres
- Parmi la brume et la tristesse du matin
- Parmi les femmes
- Parmi mes souvenirs, Clorinde, je choisis
- Le Passé maugréait et frappait à la porte
- La patronne d’un tir forain
- Pélops, par l’épaule d’ivoire
- Personne ne saura jamais
- Philippe, vous tiriez les lapins de garenne
- Poésies de Henri de Régnier
- Les poètes sont en paix
- La porte du jardin donne sur la ruelle
- Pour goûter au charme unique
- Pour le bonheur, dont le pipeau
- Prends ton manteau. Suspends les plaintes éternelles
- Puisque dans cette chambre où l’amour triompha
- Puisque je suis assis sous ce pin vert et sombre
- Puisque tout est pareil aux feuillages labiles
Q
R
S
- Si je dois ne jamais oublier les sentiers
- Si tu as bu le vin suprême des idées
- Six heures tombent de l’horloge
- Le soir pique à l’azur des grains de mimosa
- Le soleil a doré tes lèvres. Un bourdon
- Soleil triste, mairie obscure, ô jours amers
- Souffle ta lampe ! Le matin
- Les souvenirs ce soir vibrent comme des mouches
- Sur le toit noir et bleu que mon exil habite
T
- T’en souviens-tu (comme on écrit dans les romances)
- Le temps est achevé des cris et des tempêtes
- Terrible passion, voici que tu m’exiles
- Tes bras ont une courbe adorable et malgré que
- Tiède azur. Les bouvreuils s’éveillent dans les roses
- Toi qui passes, foulant la neige de la rue
- Toi, tu ris, tu te renverses
- Triste, à côté du chien et du chat, j’ai chauffé
- Tu me railles, mais j’aime un livre singulier
- Tu n’aimes pas les vers, car tu es belle et dis
- Tu ne crois plus aux beaux cheveux
- Tu parus. Mais les doigts posés sur le loquet
U
V
- Va ! tu n’es qu’une femme, une fleur vide, rien
- Le vent hurle, et dans sa monstrueuse colère
- Le vent perce la porte et souffle sur le feu
- Vers la croisée et vers les roses du plafond
- La vie est douce encore à ceux qui savent vivre
- Vieille arquebuse entre les vieilles arquebuses
- Viendras-tu rallumer les lampes
- Violons qui chantez sous les archets du vent
- Vois ! Le ciel est clouté d’étoiles cristallines
- Vous que je vois dans la clarté des lampadaires
- Vous, Carco, Pellerin, Vérane et vous Jean-Marc