Cahiers de la quinzaine - XIII-8/III
TABLE DE CE CAHIER
pages
I. —
17
§. — Plus il tâche à vivre en société
20
§. — On dit parfois que la misère
22
§. — Voilà bien le cri
24
II. —
27
III. —
33
§. — Il a toujours répugné aux sciences
33
§. — Il a le respect et l’amour de son art
36
§. — Il semble bâiller d’ennui
36
§. — Dostoïevski est d’un prodigieux désordre
37
§. — Dostoïevski est riche en mots inoubliables
38
§. — Dostoïevski a la conscience de Pétersbourg
39
§. — Un monde à part
39
§. — Le monde de la profonde conscience
41
§. — Nulle puissance plus proche de la vie
41
IV. —
45
§. — Je compare la marche de l’épileptique
48
§. — Comme il est en amour
52
§. — Parce qu’il les a vu souffrir
55
§. — Il est plus d’un homme
57
§. — Quelle est donc cette recherche de la douleur
60
V. —
63
§. — La force du style emporte tout
67
§. — Enfin, Dostoïevski est joueur
68
§. — Qu’il manque de dignité avec noblesse !
70
§. — Les arbres ne sont pas de la même essence
72
§. — Il est contre l’Occident
74
§. — Avant quarante-deux ans
76
§. — L’intuition est une vue du cœur dans les ténèbres
82
§. — Dostoïevski maître en toutes passions
86
§. — Encore un pas
87
§. — L’intuition est le lieu
89
§. — Il n’est rien dans Nietzsche
90
§. — Larmes de la tendresse
90
§. — Ce n’est pas cet amour de tête
91
§. — Amour de la vie
93
§. — Ô Fédor Mikhaïlovitch
93