Aristippe, ou De la Cour/Table des matieres
Ction. Il est aiſé de ſe tromper, dans le iugement qu’on fait des actions des hommes, puis que ceux qui les ſont, y ſont les premiers trompez, pag. 74. & ſuiuantes.
De la laſcheté de ceux, qui fremiſſent au moindre recit qui leur est fait du peril, qui les retient & empeſche de dire leur ſentiment, auec liberté, 109
Il y a des Grands qui ne ſont remarquables que par leur Grandeur, 45
Semblables à ces hautes montagnes infructueuſes, qui ne produiſent, ni herbe, ni plante, 45.46
Arberouſſe, qui auoit intelligence auec André Dorie, 125.126
Aton estoit vn austere Republicain, mais hors d’vſage, qui ne ſçauoit pas s’accommoder à la portée de ſon Siecle, 156. & ſuiuantes.
Application d’vn Vers de Virgile bien à propos, 158.159
Les Iugemens les plus vifs manquent de clarté en leurs propres intereſts, 20.21
Celuy qui prend & reçoit confeil, ne doit pas eſtre estimé moins ſage, 29.30
Tels Conſeillers ne ſont pas ceux qui doiuent eſtre appcllez, aupres des Rois, 174
Eliberation. Comment s’entend ce que les Romains diſoient, qu’on deuoit deliberer auec l’Occaſion, & en la preſence des Affaires, 91.92.
des Dialogues, ii.iz de Dieu. II n’y a que luy ſeul qui ſoit pleincment contcnt de íoymeſme, 18 des Difcours de cet Ouurage, de leur Authcuſj &c la grande approbacion qu’ilsonteuë, deçà &dclà les Monts, 5. & ia sttiutntes. Andrc Doric auoit inteiligcnce auec Barberousse , quoy qu’il fuſt bon ſcruiteur de l’Empercur Charlcs> Quint, Ï2j - 116 ■ E EQuiuoques plaiſans, d’vn Homme dclongue robbc, qui auoit peu de connoisl’ancedcs bonnes I.ettres, 57 du Duc d’Efpernon, 3.4 l’Efprit prend vn mcruciljeux plaiſir dans le paiſonnemcnt, , S8 Ce qui luy paroist ami êc fauorablc dans la penſéc , ſe reuolte & : deuicnt contraire dans l’opcration, 89. 90 Euenemens. Les plus grands ne ſont pas touſiours produits par des grandcs cauſcs , 71. & ſniuantes.
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f ^ - • ? f . FAueur cst vneFille, qui tuë bien fouuent ſa propre Merc, zoj des Fauoris , Sc leur dcſcription , 178. ’cr ſuiuantes. Commcnt, &c par quels moycns ils s’introduiſcnt &c s’elcucnt à la Courj & comment peu à peu ils s’ernparent de rÊſptitd’vn Prince, 181. dr Jùtunntcs. De quelles rufes &c de quels artifices ils ſe ſcruent pour s’asluiettir tout à fait le Prince, a- íìn de regner cux-meſmcs Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/257 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/258 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/259 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/260 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/261 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/262 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/263 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/264 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/265 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/266 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/267 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/268 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/269 Page:De Balzac - Aristippe, ou De la Cour, 1658.djvu/270