Alphonse Lemerre, éditeur (p. 99-100).

MIRLITONNADE


Dessus ta blanche patte
Pour nous deux amuser,
Un bon, un gros baiser
Ma petiote chatte, —

Et dans ta bouche en cœur
Un baiser bien humide,
Baiser qui t’intimide ;
Pour croire au vrai bonheur.


Sur ta chair qui se fane,
Et si jeune est ta chair
Que tu la vends si cher
À la race profane ;

Laisse-moi m’abreuver
De rêves, pour rêver…