À Théodore de Banville (Armand Silvestre)
À THÉODORE DE BANVILLE
Mon maître et mon ami,
Je vous dédie ce livre parce que c’est celui où j’ai mis le plus de moi-même. Je puis donc vous dire en vous l’offrant : et serves animæ dimidium meæ !
Cette moitié de moi-même est faite d’admiration, de tendresse et de reconnaissance pour vous.
ARMAND SILVESTRE.
Paris, 31 janvier 1880.