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Fabre d’Églantine - Œuvres mêlées et posthumes, t. 2, 1802.djvu/238
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(232)
Ouvre-moi ta maisonette,
page
173
.
Près de vous qu’il est doux,
179
.
Il pleut, il pleut, bergère,
182
.
À peine encor le couchant brille,
184
.
De bergerette il n’en est pas,
187
.
Pour bien aimer il faut une ame tendre,
189
.
Dans la chanson chacun a son système,
191
.
Tendre et paisible ennui ! douce mélancolie !
192
.
Sous le rideau de cette nuit obscure,
195
.
J’ai perdu ma Brunette !
198
.
Chloé, je suis ton serviteur,
201
.
Oui, je veux dans la solitude,
203
.
Que ta voix tendre et langoureuse,
205
.
Ne vois-tu pas tout mon plaisir,
207
.
Je t’aime tant, je t’aime tant !
209
.
Laisse-moi, laisse-moi, perfide,
211
.
Enfin, la nuit est assez noire,
214
.
Voici de quoi rire et pester,
216
.
Ces jour passés,
Thémire
,
218
.
Écoutez l’Éclésiaste,
220
.
Hermosa Glaudieta,
223
.
Notes
,
225
.
Fin de la Table du tome second.